Vos mots pour le dire

Comment on s’en sort, comment on se reconstruit

 J'ai été harcelée par plusieurs filles qui étaient (je croyais) des amies, durant 3 années de scolarité.
Du jour au lendemain elles se sont toutes liguées contre moi pour une histoire de garçon.
2 d'entre elles étaient des voisines et on allait au même collège à pied donc autant dire que j'étais attendue tous les matins au bout de ma rue pour être suivie, insultée et menacée.
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heureux ceux qui peuvent le raconter et qui s'en sont sortis vifs l'envie de mourir vous traverse plusieurs fois l'esprit etre sauvé par le hasard !!!!!!!par votre volontée???????? mais il reste toujours une blessure une cicatrice . LA VIE SE CHARGE DE RENDRE LES COUPS A CEUX QUI VOUS LES ONT DONNES ce n'est pas une consolation mais juste une constatation et c'est triste de l'avouer mais c'est jouissif
 

J'ai été harcelé durant mes années de primaire et de collège.
J'étais un garçon manqué quand j'étais petite, mais un vrai. Cheveux toujours attaché, vêtement achetés chez les garçons. Et pour ça je me faisais harcèlement tous les jours (vols, isolement, insultes, humiliations). Chaque fois, je me réfugiait dans des salles de cours, dans les toilettes, j'attendais que le temps passe en pleurant.
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3 ans de harcèlement au collège. Des centaines de pensées suicidaires et 2 ans d'anorexie ne m'ont pas fait plier. Je suis devenue prof, j'ai maintenant des élèves à aider, qui subissent le même sort. C'est un des grands défis que je souhaite relever dans l'exercice de mon métier. Faire prendre conscience aux harceleurs des conséquences de leurs actes et faire naître en eux ce sentiment d'empathie. Montrer aux victimes que l'on peut se renforcer après avoir connu cette épreuve.
 

J'ai été harcelée au lycée. Tout d'abord par une fille en manque de repères familiaux, puis par sa bande et enfin par d'autres lycéens que je ne connaissais même pas. Ils m'insultaient dès qu'ils me voyaient. J'ai réussi à tenir grâce à mes parents. On a été convoqué par le proviseur qui ne "voulait pas faire de vague" dans son établissement! La seule solution a été pour moi de redoubler mon année dans un autre lycée! C'est une honte car ce n'était pas à moi de partir même si ce fut le meilleur choix au final pour moi. Rien n'a été fait contre ces harceleurs qui ont pu finir leur scolarité tranquille. Il faut que ça change! Aujourd'hui je vais beaucoup mieux même si ma confiance en moi et en les autres a été ébranlée, j'ai réussi à me reconstruire. Sauvons tous ces enfants!
 

J'ai subi des brimades et des moqueries, au collège, à partir de la classe de 5ème, alors que j'avais changé d'établissement pour intégrer un collège privé. Ma faute ? Etre bonne élève, moins jolie que certaines à l'époque, mais surtout moins bien habillée, car je venais d'un milieu très modeste et cela se voyait, en comparaison de la plupart de mes "camarades" habillés en marques et enfants de famille aisées (ou non d'ailleurs!). J'ai un jour été collée à ma chaise avec de la colle liquide par une "copine": jean fichu -catastrophe pour moi...- et humiliation publique.
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Bonjour, 
J'ai été victime de harcèlement scolaire à l'école primaire et au collège.
A l'école primaire, j'étais tabassée aux arrêts de bus par une fille de ma classe. Parfois elle était remplacée par un membre de sa famille (un garçon) plus âgé. Je suis arrivée en CE2 d'une autre région et mes tenues vestimentaires ainsi que mon attitude étaient plus sophistiquée que les autres élèves de cette école primaire de campagne, j'étais aussi mauvaise en sport (et c'était semble-t-il la matière la plus valorisée).
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Bonjour,
J'ai été victime de harcelement type moquerie et coup entre la 4ème et la 3ème au collage, harcelé par une unique personne qui était mon meilleur ami à durant la primaire et jusqu'en 5ème. Je ne me suis jamais defendu, ne comprenant pas au début pourquoi il faisait ça.
Je me suis laissé faire et c'est avec regrets que je le dit car à l'époque j'aurais du rendre coup pour coup et ne pas me laisser faire, je regrette que mes parents ne n'est pas appris a me defendre.
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Bonjour,
J'ai 24 ans, et je n'ai jamais subi de harcèlement scolaire. Mais j'en ai été témoin. Et aujourd'hui je me rends compte à quel point j'aurai souhaité ne pas être assez idiot pour laisser les bourreaux s'en prendre aux victimes. J'avais la possibilité physique, et j'avais assez de poids pour le faire au sein de ma classe, et en ne faisant rien, je me suis rendu presque complice de tels actes ignobles. Et je le regrette, vraiment.
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Je suis une fille de 17 ans et je suis aujourd'hui au lycée, je suis malade encore aujourd'hui. Voici mon histoire. J'ai été victime de harcèlement de la 5ème à la 4ème. Tout le monde était contre moi à cause de mon physique, j'étais un peu enrobée, et je me maquillais rarement, contrairement aux autres filles de ma classe. Un jour, toute la classe s'est mis autour de moi, formant une ronde.
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Je m'appelle M, j'ai 19 ans, j'ai été victime de harcèlements scolaire de mes 11 ans jusqu'à mes 14 ans... À cette époque, j'étais en surpoids et très blanche de peau, j'ai subi les moqueries, les humiliations, la méchanceté gratuite... J'ai voulu à plusieurs reprises mettre fin à mes jours, je commencais vraiment à penser que ma vie ne rimait à rien et que surtout JE ne servais à rien, le message que je voudrais faire passer aux enfants et aux adolescents victimes d'harcèlements c'est qu'il ne faut pas garder le silence,
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J’étais en 5ème dans un collège classique mais je ne connaissais personne dans la classe j’avais quelles que amie en  dehors de la classe le 1er  moi c’est bien passer puis il y a une nouvelle qui est arrivée en cour de maths à la fin du cours j’ai vu que personne sent est préoccupée alors moi je ne voulais pas l’a laissez toute seul alors je les présenté à mon groupe amis puis sa a vite dégénérée  elle a commencée a répandre un rumeur a l’aide de ma meilleur amie a l’époque il parait que j’avais des poux sur la tête tellement de poux
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J'ai été harcelée pour avoir défendu une autre fille harcelée, si tous ceux qui se taisent agissaient, cela n'existerais plus, les vrai harceleurs sont une minorité ce sont les suiveurs qui font le nombre!!
 

Je suis victime de harcèlement depuis mon CM1 et je suis actuellement déscolariser et train de passer vers le CNED. J'ai subie des coups, des brimades parce que je suis un peu enrobé et que j'avais un fort caractère. J'ai subie la quasi-totalité des insultes quotidiennement, principalement à cause de mon groupe classe. Je suis lentement en train de remonter la pente et j'espère que mes enfants n'auront jamais à vivre ce que j'ai vécue.
Merci d'avoir pris la peine de lire mon témoignage.
 

j'ai déjà été harcelé, quand j'avais 9 ans. Ils m'insultaient, ça a commencé en CE2. Ils me frappait des fois car quand on jouait à des jeux et quand celui qui attrapait partait, c'était toujours à moi de le remplacer, je refusais mais après, il me traitait de mauvais joueur et me frappait vers les poumons ce qui est très désagréable car ça coupe la respiration. Une fois, je faisais du vélo avec mon père et on grimpait une montée, et là, ma respiration se coupât, mon père l' avait remarqué et me demanda ce qui n'allait pas, je lui dit que c'était parce que des gens me frapper vers les poumons à l'école. Puis ma mère allât le dire à la mère d'une des personnes qui me frappait qui était professeur dans l' école d'aller dire à son fils d'arrêter de me frappait. Depuis que je l' ai dit, on ne m'embête plus.
 

J'ai été bien dans ma peau jusqu'à l'aube de mes douze ans. J'avais des amie, ensembles depuis la primaire nous étions indestructibles, méchantes parfois, souvent méprisantes envers d'autres plus seuls, plus faibles. Etre au milieu d'un groupe donne des ailes, on se sent intouchable. Il y avait une chef de désignée, une gamine qui avait une influence impressionnante sur la bande. Pour faire nos preuves il fallait être aussi méchantes qu'elle, quitte à renier ce qu'on était. Quand j'y repense ça me parait dingue. Passer de bourreau à victime, quelle ironie. Et pourtant ...
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tout a commencer en bep 2eme année
une nouvelle arriva dans notre classe qui s'allia avec le peu de mec et commenca a chercher , vanner les gens.
je faisais parti des bons eleves , un jour je me suis retournée pour demander a ce groupe de se taire  et la c'est le drame.
je suis pris en grippe âr ce fameux groupe avec cette fille qui ne fasiat que les engrener!
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J'ai été victime de harcèlement scolaire au lycée, et particulièrement en seconde à l'âge de 15 ans. J'étais dans un lycée privé assez réputé et privilégié, mais pas non plus "de bourges". Durant le premier trimestre j'étais relativement intégré et mon harcèlement a été très "léger" : ce n'étaient que des taquineries ponctuelles et peu graves, hormis le fait peut-être qu'elles m'étaient très souvent adressées.
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Pendant toute ma scolarité au collège j'ai été victime de harcèlement. Au début c'était des remarques sur mon poids (j'étais plutôt rondouillette) puis des insultes juste méchantes (des mots sur les mamans, vous voyez l'idée) on me crachait dessus ou frappait en passant. En 3ème des "anonymes" sont venus me massacrer virtuellement sur mon blog. J'ai perdu pied, je ne disais rien, fais des TS, jusqu'au jour où dans le bus 2 personnes à qui je parlais à peine sont venus me frapper. Le chauffeur n'a rien fait, je suis rentrée en larme à la maison et mes parents ont réagi.
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J'entrais en 6ème, ayant subit un accident de la route j'étais comme ils disaient "handicapée" ou "trop lente" pour mériter que l'on prenne le temps de m'attendre. Cet engrenage à continué durant tout le collège mettant en avant des filles se croyant fortes de s'attaquer en groupe à une personne isolée. Je me suis scarifiée et mise à boire et à manger pour oublier. Ce harcèlement m'est revenu en classe de 1ère cette fois sur les réseaux sociaux auquel j'ai coupé court. L'aide qui m'a été apportée m'a sauvée dans tout les sens du terme, j'ai arrêter de boire, et me suis remise à manger normalement, je remercie ici mes amis qui se sont élevés avec moi contre cette masse immense et anonyme qui jouait avec mes larmes et ma douleur.
 

J'ai été harcelée au collège, durant 2 ans. J'ai beaucoup déménagé dans mon enfance, et j'ai toujours été une "étrangère" puisque les autres élèves ne me connaissaient pas depuis leur toute petite enfance. J'ai été scolarisée dans 4 collèges différents, et suis restée le plus longtemps dans celui où on me harcelait, dans les Ardennes. C'était un collège privé. Tout le monde voyait et savait : profs, surveillants, encadrants administratifs, autres élèves.  C'était en 1991-92 et 92-93. J'avais 11 et 12 ans. Je n'ai jamais oublié, ni les noms, ni les visages, ni les silences complices.
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J'ai été harcelé... surtout pour ma lenteur : au collège (surtout en 5ième et en 4ième) j'ai reçu des insultes, des menaces et des coups. Malgré tout je survivais puisque j'avais de bons amis. Le plus difficile a été le lycée, où, pour la même raison qu'au collège je me suis retrouvée sans amis. Aucun coups, j'étais juste seule, très seule : les récrés étaient invivables, les travaux en groupes insupportables puisque personne ne m'acceptait.
Les rares fois où j'ai osé en parlé à ma mère en lui expliquant les raisons de ces différentes situations elle m'a fait culpabiliser... je me suis longtemps tue. Csq : retard scolaire ! mais je m'en suis sortie.
 

J'avais 11 ans, j'entrais en 6eme. Je sortais d'une petite école de campagne ou j'ai poursuivi toute ma scolarité. Je ne connaissait rien de la vie, je grandissais alors dans une bulle protégée des autres. J'étais une petite fille pleine de joie et d'entrain.
Cette rentré était pour moi stressante mais attendu, j'avais hâte.
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J'ai 28 ans aujourd'hui. J'ai été harcelée de mon entrée au collège jusqu'à ma sortie du lycée, soit 7 ans.
Je ne sais pas pourquoi j'ai été harcelée. Je n'étais pas très jolie, je n'étais jamais à la mode. Il en faut très peu pour devenir une cible.
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J'ai été harcelée pendant mes 4 années de collèges il y a 20 ans maintenant. De ce que je lis dans ces pages, rien n'a changé, sauf internet.
4 années de honte et de violence pendant lesquelles j'ai gardé le silence. Le collège, y compris certains professeurs, encourageait les harceleurs. Je n'ai parlé à mes parents il y a seulement 2 ans, ils sont tombées des nues.
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J’ai été victime de harcèlement. Ça a commencé très tôt, dès l’école primaire. J’étais mis à l’écart par les autres car au lieu d’être extraverti et de faire du sport comme tout le monde, je passais mon temps à jouer aux jeux vidéo chez moi et à en parler, tout le temps, à l’école. Alors on se moquait de moi, et très vite les élèves ont compris mes faiblesses : j’avais du mal à accepter l’humour puisqu’il était systématiquement fait dans l’intention de me faire du mal, et il suffisait pour eux d’insister pour me pousser à bout.
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Depuis mes premiers souvenirs de maternelle, je me souviens m'être fait passer à tabac dans la cour de récré, jusqu'à la fin de la troisième. Je me suis fait battre, insulter, moquer, harceler. J'ai souffert, j'ai eu des idées noires. Toutes ces années de scolarité ont été un terrible enfer pour moi. Les gens changeaient, et avec eux les prétextes pour me faire mal. Ma coupe de cheveux, mon nom, mes hobbies, parce que je travaillais en cours. Tout était une excuse pour me faire violence.
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Bonjour,
Merci pour ce reportage poignant, bouleversant même. Je crois qu'en prenant des petits bouts de chacun des témoignages, on pourrait reconstituer mon histoire. C'était il y a une quinzaine d'années, pendant les quatre années de collège. Peu ou pas de violences physiques mais un harcèlement moral quotidien.
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J'ai été victime de harcèlement. Comme 10% des jeunes, apparemment. Tout à commencer en 6ième parce que je n'avais pas réussi à m'intégrer dans la classe, parce que j'avais de bonnes notes et les cheveux bouclés. A cet âge-là, je n'ai pas compris ce qui se passait. J'essayais d'en parler à mes parents mais j'avais l'impression qu'ils ne comprenaient pas. Les pires moments pour moi étaient les repas au self le midi, les récréations passées enfermées dans les toilettes à pleurer et les cours de sport où les autres se moquaient de moi ou s'amusaient à me faire tomber. Plus les années passaient et plus je me renfermais.
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J' ai également subie le harcèlement,  je me rappelle encore des coups de pieds reçus avec des grosses chaussures bien épaisses et dures !! C était ma première année au Collège je rentrais en classe de sixième d' un petit collège de campagne. Un garçon meneur me donnait des coups son groupe suivait. Je n'arrivais pas à me défendre! j' étais timide! j' avais peur... dès que je le voyais  me regarder j' étais pétrifiée et je savais qu 'il allait me frapper.....Je lui demandais d'arrêter mais il continuait......
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J'ai été harcelée du CP au CM2. Je me souviens de cette bande de filles qui me laissaient seule à toute les récrés, enfin me laissaient... Non! en fait elle venaient me voir m'insultaient, me prenaient mon goûter, me faisaient passer pour une moins que rien. Je me souviens qu'elles m'appelaient "biquette" car à cause d'un problème au genou je courais étrangement,
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je repond a petite fleur qui subit un harcelement
il y a un numero vert 0 808 807 010
préviens tes parents ton oncle  ton grand cousin etc
a la limite gendarmerie
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Je suis moi aussi victime de harcèlement au collège depuis ma rentrée de 5ème ma vie est un enfer le pire c'est que je me fait humilier par des fille l'erreur que j'ai fait et de ne pas en parler je me suis coupé les bras et les jambes je voulais me libérer en me faisant plus mal que la souffrance que  j'avait mais aujourd'hui mes parents sont au courant est on va trouver une solution. Si vous êtes victime de harcèlement parlés en ne laisser pas vos bourreaux gagner ce qu'il voulait .
 

Mon fils de 13 ans a été victime de harcèlement depuis la 6eme. Par chance il y a beaucoup de dialogue dans notre foyer. Des rencontres avec les professeurs, le principal et la CPE ont permit d'attirer l'attention de ce genre de pratique dans l'établissement. Malgré tout cela continu par manque de personnel. Soyez vigilants le silence et l'arme principale des harceleurs. Actuellement en  4eme, mon fils accompagné de plusieurs camarades dénonce systématiquement  tout harcèlement envers les autres enfants.
 

Comme pour beaucoup, ce documentaire m'a tellement touché et choqué... Comme pour beaucoup, des souvenirs douloureux remontent... Harcelée pendant toute mon année de seconde, par une bande de trois filles de "bonne famille" parce que je n'étais pas "assez bien fringuée", trop sensible et introvertie. Dieu merci, ce n'a jamais été très violent comme pour la plupart des enfants qui témoignent dans le reportage. Mais insultes quotidiennes, moqueries, mégots de cigarettes encore incandescents jetés sur moi à la récré...
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J'ai 20 ans.
J'ai été harcelé dès mon arrivée dans un lycée privé. Pourquoi ? J'étais trop fragile.
Je souffre de phobie scolaire et sociale et ça, elles l'ont bien remarqué.
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J'ai été harcelé depuis ma 4ème, ça commercer par une meilleure copine puis une bande de filles ( 10 filles), elle a raconter que je volais des choses à mes copines. Je me suis retrouvé tout seule, dans un coin.
Je suis handicapé, malentendant profond depuis ma naissance. Je parle peu mal, et je bute souvent des mots.
Tout le monde se moquait de moi quand je parlais mal ...
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J'ai signé le manifeste parce que moi aussi j'ai été victime de harcèlement scolaire. Mes années au collège ont été un moment crucial. Un de ces moments que, des années après, on revit en se disant que c'est à cette période que tout a basculé. Qu'on a perdu l'estime de soi-même. Qu'on ne s'est plus vu du même oeil.
Le souvenir le plus marquant reste l'indifférence totale du corps enseignant face aux humiliations qui m'étaient infligées au su et au vu de tous. A la fin, j'ai finis par croire que c'était normal de se lever le matin pour se  faire insulter toute la journée à l'école.
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Je suis un homme de 24 ans, hétéro, blanc, etc, aucun cliché (vous comprendrez).
En primaire on a la trouille du collège, on s'informe, on veut savoir comment, comment être car c'est 4 ans d'essorage très mal vécu quasiment pour la génaration Y.
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J'étais une bonne élève à l'école, mais je ne savais pas que cela pouvait se retourner contre moi à l'époque, surtout au collège. Déjà à l'école primaire, mon nom étranger (d'origine croate), ma timidité, m'ont fait devenir la cible des autres élèves, mais pas de façon systématique. Cela se manifestait par de petites choses, par exemple, un jour, un garçon de ma classe m'avait volé mon ... maillot de bain à la piscine, je ne l'ai jamais récupéré, même si je savais que c'était lui (il s'en était vanté), et l'instituteur n'a pas osé s'opposer à lui ni à ses parents.
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Deux de mes 4 enfants ont été harcelés au collège. Le premier en 1997. Suite à un déménagement, mon fils a intégré un nouveau collège en 4ème. Il était renfermé ne s'exprimait pas sur sa vie à l'école. Un jour en 97 , j'étais en congé, le collège m'appelle et m'informe que mon fils est à l'infirmerie, qu'il a fait un malaise. Je m'y rends, je trouve mon fils qui tient des propos incohérents, qui ne sait pas ce qu'il lui est arrivé. L'équipe éducative me dit qu'il a été retrouvé inconscient au moment de l'entrée en classe à 14h.
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J'ai été victime de harcèlement depuis la maternelle. J'ai toujours dit à mes parents qu'il y avait des gamins qui m'embêtaient. Leur réaction : "Et alors? Laisse-les faire, ils sont bêtes ! Ca leur passera, ils en auront marre." Ils n'en ont jamais eu marre, ça ne leur est jamais passé. J'ai fait toute ma scolarité (maternelle, primaire, collège, lycée) dans la même ville.
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Mon harcèlement s'est principalement  déroulé durant mes années à l'écoles primaire (CE1, CE2, CM1, CM2) : tous le monde me voyait comme quelqu'un de différent ... J'avais un ami d'enfance, mais à l'école, il ne restait pas trop avec moi, il ne voulais pas être vu avec la "fille manquée", la "pédale". Dans les vestiaires c'était : "Oh mais tu t'es encore trompé de vestiaires !" ou bien "T'as les nichons qui poussent" ...
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C'est fou la violence d'un enfant.
J'ai été victime de harcèlement pendant toute mon année de CM1. Une élève commença à décréter qu'elle ne voulait pas que je sois à moins de 50m d'elle dans la cours, je fût retenue de force dans un coin par un groupe d'autres enfants. Une récréation, puis deux, puis trois. Sans comprendre ce que l'on me reprochait. Ce que je prenait pour un jeu au départ commençait à prendre un visage plus cruel. Cette même élève décréta ensuite que j'avais une maladie, que personne ne devait me toucher, ou toucher quelque chose que j'avais touché. Une feuille, un stylo, une barrière, ma chaise, mon bureau.... moi-même. On m'appelait "la contaminée" dans toute la classe.
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Je témoigne pour mon fils, qui dès sa rentrée en sixième, sans copain, s'est fait rejeter par des injures, des insultes ou de l'indifférence lorsqu'il essayait de communiquer. Anxieux et hypersensible, il était face à une bande, sans défense et en plus, bon élève! Heureusement, je suis à l'écoute et des crises de nerfs explosives et inhabituelles ont été révélatrices d'un problème.
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Bonjour,
à peine commencer à regarder le reportage et en écoutant le témoignage de parents d'un enfant de 13 ans qui a mis à ses jours, j'ai versé des larmes. Ces pauvres enfants souffraient tellement que leur échappatoire était le suicide. Cela me révolte parce que ce sont des morts qui auraient pu être éviter si les pouvoirs publics avaient pris la chose au sérieux, sans compter les professeurs, CPE et proviseurs qui sont restés passifs ( et au final complices).
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Merci à France 2 d'avoir diffusé ce reportage j'ai moi même été victime d'agressions au collège et au lycée par des groupes d'individus, durant les cours pendant l'absence d'un professeur, entre les cours c'était des agressions physiques et verbales et je voulais dire merci aux personne qui ont témoigné avec courage face à la caméra je vous dis un grand merci.
 

J'ai été harcelée quand j'étais en 4 ème et en 3 ème c'est à dire entre 2010 et 2012. Mes harceleurs était "mes amis" je me faisais insulté de grosse a longueur de journée, on lançais mes affaires sur le toit, on me volait mes chaussures que j avais a mes pieds et les lançait a travers la cour. Je ne voulais pas en parler car j'avais peur mais chaque soir quand je rentrais chez moi , j allais dans ma chambre et je pleurait.
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Je témoigne aujourd'hui des violences que j'ai vécu ors de ma scolarité au collège durant 2 ans, de la 5ème jusqu’en 4ème incluse.
J'étais en surpoids et du coup un des sujets à moquerie préféré de mes chers camarades. C'est allé de la "simple" insulte jusqu'à l'agression physique. Le groupe était mené par 2 filles , mais je n'oublie pas leurs acolytes , bizarrement les noms restent en tête après ce genres de choses.
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Quand j'étais au collège, la vie ne m'avait pas vraiment fait de cadeau. Gros, avec des lunettes, appareil dentaire, premier de la classe, bref j'étais au premier rang pour toutes les railleries possibles.
Comble de tout, je ressemblais beaucoup au personnage de Harry Potter. Je vous laisse imaginer les déformations de ce surnom dont j'ai été victime: Harry Branleur, Harry Péteur, Harry Pot-de-beurre,...
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J'ai du mal à nommer ce que j'ai subi. J'avais un groupe de copines que j'ai fini par craindre. Je ne sais pas pourquoi je suis restée avec ces filles alors que j'avais d'autres copines. J'étais une suiveuse, sans personnalité, influençable. Elles se moquaient de mon nez, de ma religion, de mes vêtements et de ma personnalité. Mon père me disait de le prendre avec humour quand elle se moquaient de mon nez, mais je n'y arrivais pas, ça me blessait. Et puis ces moqueries ont perduré, car je ne répliquais pas assez fort. Seule contre tous.
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J'ai été victime de harcèlement scolaire. J'avais autour de 15 ans. Je ne m'intéressais pas aux garçons de l'école car je les trouvais inintéressants (et avec le recul, ils l'étaient vraiment^^), je ne voyais aucun intérêt à me maquiller ou à m'habiller de façon sexy. Ma meilleure amie s'est fait copine avec un groupe de filles de la classe, des filles qui se maquillaient comme des voitures volées et qui se vantaient de se faire doigter par leurs mecs. Et une des filles de ce groupe a décidé qu'elle ne m'aimait pas car je ne cherchais pas à plaire. A partir de ce moment, j'ai été harcelée.
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Merci pour ce documentaire poignant, merci de briser le silence.
Ma fille de 8 ans a été victime d'une agression sexuelle il y a un an à l'école par un enfant de son âge et devant témoins. Les mises en doute, la confrontation entre elle et son agresseur, les minimisations parce qu'"à cet âge cela relève du jeu".... sont douloureuses.
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Merci pour ce documentaire poignant, merci de briser le silence.
Ma fille de 8 ans a été victime d'une agression sexuelle il y a un an à l'école par un enfant de son âge et devant témoins. Les mises en doute, la confrontation entre elle et son agresseur, les minimisations parce qu'"à cet âge cela relève du jeu".... sont douloureuses. Le harcèlement physique et moral a pris la suite, depuis un an, avec des mots qu'on imagine pas dans la bouche d'enfants de 7/8 ans...On oscille en permanence entre l'écouter, renforçant parfois la victimisation, le bonheur de l'entendre parler de nouvelles copines, réaliser que cela cache encore une réelle souffrance, comprendre qu'elle n'arrive que difficilement à se détacher de ses "bourreaux"...
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Je n'ai jamais été une victime de harcèlement, je voulais simplement remercier les jeunes et les parents qui ont témoigné et que j'ai trouvés formidables.
Il a fallu beaucoup de courage et je leur souhaite le meilleur pour l'avenir
Encore merci ;)
 

Harcelée en 3ème dans un petit collège de campagne bien sous tous rapports, par ceux-là même qui étaient auparavant mes "amis", je suis outrée de constater que les mêmes choses se reproduisent encore et toujours. Sous les yeux des profs et directeurs qui ne réagissent pas! Comme à mon époque! Pour mon cas, c'étaient plutôt des bons élèves, issus de bonnes familles dont les parents étaient copains avec les profs et le proviseur! Du coup, c'était la fille d'ouvrière qui n'allait pas bien et qui cherchait ce qu'elle semait!
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J'ai été harcelé à partir du CM2 et durant les 2 premières années de collège. On peut penser que cela n'arrive que dans les grandes villes... et pourtant ! Je venais d'un petit village d'à peine 500 habitants, et à l'école, tout le monde se connaissait. Un jour, une fille a commencé à monter tout le monde contre moi (je ne saurai jamais pourquoi d'ailleurs). Aujourd'hui, seule la mise à l'écart et quelques bousculades me reviennent à l'esprit (probablement que je ne veux plus me souvenir), mais ma mère me parlait également d'insultes, de moqueries...
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C'est un enfer de chaque seconde, qui commence parfois dès l'école primaire par le rejet, ensuite dès la rentrée en 6ème puis jusqu'en 3ème.
Pour ma part un nom d'origine soviétique et le goût de l'isolement suivi par la découverte de mon homosexualité ont empiré le fait que j'étais bouc émissaire.
Dans le bus le matin, j'ai espéré qu'on se crash tous, pour ne pas y aller. S'il y avaient des morts ça m'aurais arrangé.
Le soir l'enfer continuait après l'école toujours dans le bus jusqu'à l’arrêt à 3 minutes avant le mien.
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Les années collèges furent longues dont une en phobie scolaire. Collège réputé, mais ce n'était pas mon collège de secteur. arrivé en cours d'année avec un an d'avance , issue d'une Famille nombreuses, parents non divorcée , pas de fringue de marque, en surpoid, bref une cible idéal.... J'ai redoublé pour changer de classe mais cela n'a pas suffit. En changeant pour un autre lycée j'ai pu repartir d'une page blanche.... Mais si mes parent m.avait maintenu dans l'établissement qui faisait lycée également ...je n'ose imaginé ce que j'aurais pu faire pour en sortir. Depuis je fais un détour pour ne jamais passé devant ce College.
 

J'ai aussi été victime de harcèlement à l'école, surtout au collège. Ca s'est passé dans les années 90. On m'insultait, on me poussait, il y en a même un qui me tapait. J'avais beau changé d'école tous les deux ans à peu près, ça recommençait tout le temps.
Ca m'a fait me renfermer sur moi-même. Et aujourd'hui, j'ai une phobie sociale. Je suis très timide, surtout envers les filles, car elles non plus ne m'épargnait pas, et que c'est l'âge où l'on pense beaucoup aux filles, c'est donc d'autant plus dur quand ça vient d'elles.
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J'ai été harcelé durant toute mon année de 6ème en collège privé. D'anciennes camarades de primaires, qui avaient aussi été inscrites dans ce collège, se sont mises à me harceler. Je ne pouvais jamais en parler car la maman de l'une d'elle m'amener et me ramener tous les jours du collège. Cette fille me disait en sortant de l'école : "Si tu en parles, je te ferai la peau" et bien d'autres menaces de ce genre là.
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J'ai été victime de harcèlement scolaire dans les années 1990. Certaines filles de ma classe me tiraient les cheveux, me bousculaient, et des garçons m'en faisaient voir de toutes les couleurs.
J'ai beaucoup souffert. Je ne voulais plus aller à l'école et je l'ai dis à ma mère en pleurant, mais elle ne m'a pas prise au sérieux, et j'étais trop timide pour en parler aux enseignants et surveillants.
Depuis ces événements, j'ai une timidité maladive.
 

J'avais 13 ans, en cinquième, collège privé.
"Aime ton prochain", pardonnez-moi si je ri, car j'ai subi un harcèlement moral de plus d'un an avec des adolescents qui avaient plus à cœur d'haïr son prochain que de l'aimer.
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Je venais de rentrer en 6ième, j'étais fière et contente j'avais 11 ans. J'avais de bonnes notes le premier trimestre et à la fin de celui ci tout a basculé. Je ne sais pas comment s'est arrivé et pourquoi. C'était le jour du loto du collège toute seule au milieu de la cour et puis deux garçons de ma classe sont arrivés m'ont attrapé,  un me tenait fermement l'autre avec un " faux couteau" sous la gorge me demandant de l'argent.
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Le harcèlement que j'ai subi a commencé en primaire et ne s'est jamais terminé. Pas dans ma tête en tout cas...
Au début c'est parti de rien, peut-être de mon prénom, d'une soit-disant mauvaise odeur. Au début c'était juste des moqueries, des vols de goûters. Puis c'est devenu des regards noirs, insultants, des rires humiliants, des insultes...
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Je me permets de vous ecrire car je viens de découvrir l' histoirede marion en lisant ce livre qui est magnique j'ai bcp pleuré cette histoire m'a bcp touché ma fille a été harcelé aussi par qq camarade mais j'ai pu intervenir cela a commencé en cm1 pas de dialogue avec les parents d'une des enfants le comble !! c sur ce n'était pas ca fille ! elle a voulu recommencer au college mais j'ai mis les pieds dans le plat!! du harcelement il y en a partout ma fille me raconte bcp de choses que font les parents de ces enfats harcdeleurs! que font les établissement scolaires je me bats avec vous tous
 

Victime de harcèlement scolaire du cp juqu'à la troisième général...
victime de mot qui m'ont bléssée à vie,du genre"grosse vache" et j'en passe...et des instituteurs et professeurs tout aussi point fin que les élèves....en parlait avec mes parents étaient choses presque impossible puisque pour eux c'était moi qui ne me secouer pas assez!J'était morte à l'intérieure,et aujourd'hui,j'en porte encore les sequelles psychologiques.
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J'ai été harcelée en 4ème et en 3ème.  Un groupe de filles s'est acharnée sur moi : moqueries sur mon physique, insultes (au téléphone), fausses rumeurs.  Je ne pouvais pas me faire de copines sans qu'elles interviennent pour m'isoler, me rabaisser encore et encore, jusqu'aux idées suicidaires. Quand je repense à elles, je ne vois que l'image de perverses me persécutant et jusqu'à récemment, un sentiment d'angoisse s'imposait à moi.  Il m'a fallu des années pour supporter d'être en groupe, de parler devant quelques personnes.  Pendant des années, je me suis sentie faible, différente, honteuse.  Merci pour ce mouvement. Aujourd'hui, je  ne me sens plus honteuse, rien ne justifiait cet acharnement.  Honte à elles.
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Je voudrait dire à ce couple de parents qu'ils n'ont rien à se reprocher.
A l'age de 16 ans j'ai moi même fait une tentative de suicide suite à plusieurs années de harcèlement...
Et pourtant j'avais le soutien de ma mère et de quelques amis. Mais il y a un moment où l'on ne peut plus, et malheureusement à ce moment là, on ne pense pas à ces gens qui nous aiment, on ne voit que le mauvais.
Aujourd'hui je suis reconnaissante de ce qu'ils ont fait pour moi à l'époque et je suis sure que de là haut leur fils est reconnaissant de l'amour qu'ils lui ont donné


Pourquoi accorder crédit à la parole du garçon de la classe solitaire aux résultats scolaires déclinants contre celle d'un groupe d'élèves populaires ayant de bons bulletins ?
C'est ce qu'ont dû se dire le peu de personnes faisant parti de mon collège à qui j'ai raconté mon calvaire.
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Notre fils de 9 ans a été victime de harcèlement pendant presqu'une année. Il nous a fallu plusieurs mois à nous ses parents avant de comprendre ce qui était en train de jouer. Nous doutions de ses propos convaincus qu'il en rajoutait, des signes d'ordre psychologiques ont commencé à apparaître (violence et injures envers son cadet avec des mots et des tournures qu'on ne lui connaissait pas, des peurs, des crises de larmes et de rage avant les rentrées...).
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Comment ai-je pu survivre à ces années de torture? Encore aujourd'hui, adulte, je n'ai pas trouvé de réponse. Pourtant, j'aimerais savoir... pour aider ces enfants, ces adolescents, qui vivent au présent la souffrance extrême que moi aussi, j'ai enduré.
Je ne sais pas ce qui m'a fait vivre, mais je sais ce qui a manqué de me tuer. Le silence du corps enseignant.
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Aujourd'hui j'ai 20 ans mais chaque jour je me rappelle de mes années collèges , un réel calvaire  j'entendais chaque jour : "tu devrais t'acheter du déodorant "  en cours de sport les filles m'asperger de leur déodorant.lorsqu'il pleuvait c'était pire car soit disant que je puais plus sous la pluie car j'étais rousse.durant mon année de troisième une fille de 17 ans qui elle aussi était en troisième m'a prise en grippe moi et mes amies et aller jusqu'à nous cracher dessus, je portais des lunettes on me traiter d'intellote ... À toute celles et ceux à qui leurs années collèges paraissent interminables je leur dit de s'accrocher car ils verront qu'au lycée et ensuite à la fac les mentalités changent ,les gens finissent par grandir et évoluer dans le bon sens .


J'ai été harcelée de la 4e jusqu'en 3e il y a 27 ans.
Ce n'était pas de la violence physique mais verbale:  des ricanements sur mon acné, mon cheveu sur la langue par un meneur ou une meneuse, et la bande de moutons bêlants qui suivaient.
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Quand L' être est propre, sain d' esprit, intelligent, et droit, que sa tenue vestimentaire soit chic, il est malheureusement montrer du doigt et balayés .... C' est un des faits constatés malheureusement dans notre société actuelle ....
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Le collège est souvent une épreuve pour beaucoup d'élèves, ceux qui n'ont pas "la chance" de faire partie de ceux qu'on considère "cool", les "leader" de la cours de récréation. J'ai été amie avec ces "leader des bacs à sables", ce groupe pendant deux ans. Fraichement débarquée d'un bled normand pour un autre bled breton, je suis arrivée en début de 6ème. Nouvelle, prise sous l'aile d'un petit groupe de fille. Pendant deux ans, on était les cinq doigts de la main, inséparable.
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A l'école, tapé, hué, ridiculisé, tête de turque de bcp... personne n'était au courant... A 16ans j'ai eu la possibilité de partir de vivre ailleurs... de Vivre une autre vie, un autre moi, c'était le 1er jour de ma 2ème vie. Aujourd'hui, j'ai 30 ans, papa, chef d'entreprise, heureux... Il faut parler, évacuer, toujours trouver un chemin, car tout le monde à le droit au bonheur....
 

Ma fille a subi le harcèlement scolaire de la 6è à la 3è. Elle a dû changer de club de natation en cours d'année  (elle était en sport étude) et d'établissement scolaire en Septembre. Les professeurs, les conseillers d'éducation, le directeur du collège protégeaient les harceleurs et critiquaient notre fille harcelée. Ils répondaient qu'elle devait se défendre et que si elle était bouc-émissaire, c'était de sa faute. Le changement de Club de natation et de collège a été une bouffée d'oxygène pour elle. Elle s'en est sortie car elle était très forte de caractère et maintenant elle réussie sa vie surtout professionnelle. Elle ne veut plus entendre parler de cette période difficile pour elle et nous-même. Nous étions très tristes pour elle. Je souhaite que les enfants harcelés s'en sortent. Que les coupables ne soient plus les harcelés mais bien les harceleurs.
 

c'est en 6ème que tout à commencer, on avait un groupe de copine que l'on surnommée "le gang" composée d'une dizaine de filles, la "chef" du groupe m'a mise de coté et à commencer à m'insulter, je voulais savoir pourquoi, on m'a répondu "tu nous prend pour des bouch trous" une simplie excuse... j'ai eu droit aux insultes, moqueries, solitude, quand je passer devant eux elles me regardaient en rigolant, à chanter "je suis seule au monde" de Corneille, on me pousser dans les couloirs, cela à durée 4 années, les 4 années de collèges, les deux premières étaient les pires
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Mon petit frère et moi avons tous les deux été harcelés pendant nos années collège, Antoine s'est fait frappé dans la cour de recréation sans que personne ne s'en aperçoive, j'ai été victime d'insulte et d'humiliation physique pendant 2 ans. Merci a notre maman qui a toujours été a notre écoute, qui nous a toujours soutenus et crus.

 

Je m'appelle clairej'ai 22 ans et j'ai été victime d'harcellement scolaire de l'école primaire au lycée parce que je suis en surpoids . J'ai arrêter le collège en 5ème car j'ai fait une dépression du à l'harcellement, tout les jours je me suis fait tapé dessus, j'ai eu des insultes et j'ai été mis à l'écart, j'étais seule. J'ai eu les doigts écrasés dans une porte et des bleues apparaissait, le sang a couler. Personne même les adultes ne bougeait le petit doigt pour moi et tout le monde fermer les yeux sauf mes parents qui ont combattu pour que cela s'arrête et n'ont pas eu gain de cause.
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il y a 3 ans mon fils de 16 ans a été harcelé dans un  lycée privé parce qu'il était bon élève (on lui a brulé les cheveux en cours, on l'a insulté , il a reçu des menaces de mort, etc, il s'est vite retrouvé seul ). Suite à ce harcèlement, il est devenu anorexique (il ne pesait plus que 38 kg pour 1m77). Le chef d'établissement est resté indifférent à cette affaire et a minimisé les choses disant que c'était Julien qui ne s'adaptait pas .
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J'ai été harcelé par une classe entière de 30 élèves lors de mon redoublement de 3éme. On me harcelait car j'était la plus vieille mais aussi par ce que je ne rentrais pas dans le moule : je ne pensais pas comme eux, je n'aimais pas les mêmes choses qu'eux, j'étais toujours dans la lune (je n'ai compris que maintenant que j'était une enfant précoce non diagnostiqué) et je disais des choses que les autres trouvais bizarre...
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Je voulais dire qu'il n'y a aucune honte à dire que l'on est où que l'on a été harcele par exemple j'ai moi même été harcelé au collège et cela continu cette année au lycée tout ça car je me suis détacher d'un groupe nuisible pour moi je m'en suis rendu compte lorsque j'ai reçu mon bulletin de note car moi qui suis un plutôt bon élève à eu des notes catastrophiques le trimestre dernier donc brisez le silence concernant le harcèlement scolaire qu'il soit physique et (ou) moral

 

Je tiens à témoigner aujourd'hui, plus de 20 ans après que tout ait commencé... enfin ! Enfin un espace de parole où l'on sait qu'on sera écouté... Dommage que ça ne soit que maintenant, après la souffrance et quand on ne peut plus rien contre elle, puisqu'elle est passée... Passée mais pas oubliée !
Mes premiers souvenirs datent de mes 6 ans, lors de mon entrée au CP. Un peu précoce, j'apprenais vite, la lecture, tout ça. Mais j'étais excessivement renfermée et timorée. La p'tite aux lunettes, la première de classe, bref... pas exactement populaire.
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Bonjour,j'ai participé au filme "Souffre-douleurs, ils se manifestent".
J'ai Aujourd'hui 42 Ans, et pendant mon enfance de l'âge de 7 ans à 15 Ans
j'ai subi le harcèlement toute mon enfance et mon adolescence parce que j'avais les cheveux tout blond,des yeux globuleux ,j'étais  tout maigre, je ne connaissais pas mon père, j'étais mal habillé,et mon premier surnom à été " BÂTARD" ,tu ressemble à une Arbalète et tu est tellement maigre que tu pourrai te cacher derrière un poteau.
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J'ai été harcelé du CM2/1 jusqu'à quasiment mon année de seconde, ça a commencé avec des affaires cassées, des insultes,moqueries, et autres, puis ça a empiré, on me frappait à la récré etc, j'ai toujours cru que tout le monde m'en voulait, que je devais avoir fait quelque chose de mal pour qu'on m'en veuille ainsi. Puis ça a continué, au collège, par les mêmes personnes, mais d'autres  se sont rajouté, et j'étais vraiment mal, j'ai perdu toute estime de moi, toute confiance en moi, je n'osais même pas mettre de chemise ouverte par peur des réflexions, le passage au lycée (même si ça a continué un peu) m'as grandement aidé puisque changement d'établissement, d'environnement etc...
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Sébastien
Lorsque j'étais ado, , j'ai connu le harcèlement scolaire et ce durant des années... Des années de peur, de pleures. Des années seul...
Je n'ai jamais été un très bon élève et pour cela le corps enseignant m'a puni, mes parents m'on puni..... Si je leurs en veux?  pfff même pas ceci est derrière moi maintenant...
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Je m'appelle Marie j'ai 16 ans.
J'ai été victime de harcèlement au lycée l'année dernière. On comprend beaucoup de choses quand ça nous arrive, notamment l'importance de nos proches dans ces moments terribles. Il faut d'abord savoir qu'à l'école primaire et au collège, j'étais déjà la cible des élèves. On n'appelait pas ça du harcèlement scolaire à l'époque, mais ça en était bel et bien. Si je calcule bien, j'ai été harcelée pendant presque 7 ans.
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J'ai 25 ans, et ces 4 Années de collège m'auront marquées à vie ! elles ont été un enfer, elles m'ont poussées à bout. Elles ont eu de lourdes répercussions sur mes études suivantes, sur mon comportement avec les autres !
La seule chose que je peux dire à tout les suivants ayez courage, vous allez grandir, votre vie va changer ayez espoir ! Ma vie aujourd'hui est génial et j'aurai tellement voulu rassurer ce tony de 11 ans en lui disant que dans le futur toute cette haine aura disparu ! Croyez en vous !
Et comme dirait Alan Turing "Ce sont ceux dont on n’attend rien qui font des choses auxquelles nul ne s’attend".
 

Ayant été un souffre-douleur de mon CE1 jusqu'à ma 3ème, je peux dire que le harcèlement est un acte inhumain. Pire encore, tout a commencé quand un professeur m'avait frappé en CE1. Mes camarades se moquaient de moi lors de mon entrée au collège et j'étais mis à l'écart car j'étais "différent" d'eux intellectuellement. A un tel point où dès que, même en classe, j'étais harcelé par un de mes camarades, c'était tout la classe qui se marrait, et en 5ème, j'en été arrivé à vouloir me suicider. Heureusement, c'est grâce à certains professeurs et à mes parents que j'ai réussi à me sortir de cette situation. Aujourd'hui encore je me demande comment est-ce possible de commettre de tels actes.
 

J'ai été victime de hacèlement scolaire. J'etais surement trop grosse. Cela ne plaisait pas. Ça a commencé par des moqueries, des mises à l'écarts, jusqu'au jour où les mots sont passés aux mains. J'ai toujours fait en sorte qu'on ne me remarque pas. Le matin quand je me reveillais, j'essayais de prévoir les choses à ne pas faire, les chemins à ne pas prendre, la place où m'installer dans le bus. Les palpitations commençaient au réveil et s'arrêtaient parfois quand j'avais fermé la porte de chez mes parents le soirs. Évidemment les idées noires s'immiscaient. J'en ai rarement parlé à mon entourage. Alors, la seule chose qui me faisait tenir, c'etait le temps. L'espoir, qu'un jours, cela cesse. Pour l'orientation au lycee, j'ai demandé  de changer de secteur. Pour que cette réputation ne me suive pas.
 

Le harcèlement n’apparaît pas comme par magie, pendant mes quatre années de collège j'ai vue la montée en puissance. Au début, il suffit de ne pas répondre, de trouver ça débile. Puis on est un peu intimidé et on ose pas réagir. Et là, il y a ce moment de réalisation, le moment où on se rend compte qu'il est trop tard, la spirale est lancée et on est piégé. C'est comme se noyer dans une baignoire, pas assez dangereux pour se méfier ou crier au secours, trop pour en sortir seul. La souffrance psychologique est telle q'on en perd la raison et qu'on cherche la façon la plus rapide d’arrêter cette souffrance.
Ne surtout pas s'isoler, l'union a toujours fait la force !
Amis, famille, supérieurs hiérarchiques, peu importe, ils peuvent tous vous aider, n'hésitez pas !
 

Ma fille a été harcelée pendant toutes ses années de collège. Elle était un peu ronde, portait des lunettes et un appareil d' orthodontie....  bref, la panoplie complète pour des harceleurs qui n'en demandent pas tant pour tourmenter leur victime... Elle a subi tout ça en silence, par peur, par honte. Je n'en ai rien su à ce moment là. Je voyais bien qu' elle n' aimait pas les garçons du collège, qu'elle jugeait idiots et la plupart des filles aussi.....                     
Ce qu' elle vivait chaque jour, c'était les réflexions sur son physique et les insultes.... " t' es grosse,  t'es moche.... tu sers à rien....",  tous les jours, sans arrêt, même pendant les cours. Bien qu'elle ait toujours eu du répondant,  cette agression perpétuelle avait fini par la paralyser....
 

Ma fille de huit ans a été agressé par 6 fois entre les vacances de novembre et le 11 decembre 2014,  par un groupe de 5 garçons de 11 ans (cm2). A chaque fois, ils attendaient quel passe dans une cour intermédiaires non surveillé au moment du passage entre le temps scolaire et périscolaire.  Ils lui disaient des propos racistes (elle est métisse), il la maintenaient fermement debout ou au sol  pour pouvoir lui donner des gifles et des coups de poings au ventre et dans les tibias. Lors de la dernière attaque,  ils sont arrivés avec une écharpe avec du scotche qui lui ont mis sur la bouche. Ils ont aussi amener un faux couteau,  ils lui ont dit que si elle parlait la prochaine fois,  ils ameneraient un vrai  couteau et lui on fait le geste de la poignarder et de l'égorger.  Les garçons se cachaient le visage avec leur col et leur capuche.
 

bonjour , moi même victime d'harcèlement  pendant plus de 12 année du cp  a la 3 ème , j'ai fait tout type de dépression mais , sa commencer par un roux ,tu pus , je joue pas avec toi , tu es pas normale , a le clochard , crève des tas d'insulte ignoble, arrivé  en ce1 le grand plus grand calvaire la les coups physique on commencer, je rentrer chez moi , souvent mal en point car 5  personne démunie de conscience et d'intelligence me malmené,
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Merci à France 2 pour ce magnifique reportage, pour moi celui-ci devrait être diffusé à chaque nouvelle rentrée scolaire afin de mettre en garde, les victimes, mais aussiles agresseurs, qui parfois, malheureusement ne se rendent pas compte de l'ampleur de leurs actes. Il faut lutter contre le harcèlement scolaire.
 

J'ai vu le harcèlement, je l'ai subi - même s'il n'est pas à la hauteur de ce que j'ai pu voir ce soir. Un documentaire poignant, choc. Il faut agir au plus vite...

 

L'école est le lieu de tous les apprentissages, et malheureusement également celui de l'effet de groupe face à une personne qui semble plus faible parce que différente. Comment les adultes témoins de ces faits peuvent-ils rester muets ? Les jeunes ont peur, ils ne peuvent pas intervenir, c'est prendre le risque de subir la même chose. Mais les adultes, quelle image laissez vous aux victimes et à leurs bourreaux ?
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Bonjour, j'ai 24 ans aujourd'hui et moi non plus je ne veux pas avoir honte.
J'ai été harcelée toute mon année de 5e. Insultée dans les couloirs, isolée à la cantine, seule en classe. Devant les surveillants et les professeurs qui laissaient tout faire. Seule constamment. Ne remarque-t-on pas une enfant toujours seule sans les couloirs, en cour ? Au CDI dès qu'il était ouvert, personne ne m'a donc remarqué?
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J'étais un des noms les plus connus de mon lycée. plus souvent insultée que complimentée. et un jour je me suis mise en couple avec un garçon en qui j'avais totalement confiance. je me suis enfermée dans ma bulle avec lui. puis il s'est mis à fumer de l'herbe, de plus en plus souvent. je voyais que ca le changeait mais il me disait que ce n'était qu'en soirée. quelques semaines plus tard il m'a quittée, sans raison. je me suis retrouvée seule. seule pour tout. plus d'amis. personne.
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Quand on rencontre les encadrants, on nous explique que ca y est nos enfants ne doivent plus être des bébés, donc il faut concevoir ce qu'est un enfant ou un adulte,  du coup nous parents on se crois trop protecteur pour notre enfant, à ce jour concevoir qu'a 11 ans on est kn enfant apporterais peut être plus de soutien à la famille, plutôt que de nous faire passer pour des parents protecteurs, cest aux surveillants d'écouter, d'intervenir a la moindre actions de moqueries par exemple, on ne se moque pas des autres, déjà ce serait un grand pas, lors de la réunion d'accueil par exemple, tous les parents et élèves sont présents, alors parler 5 minutes de ces moqueries et des conséquences seraient le minimum, pas de nous secouer en nous disant "c'est ca le college ils ne sont plus vos bebe" " oui ils le sont et on vous les confie" et quand je vois la solitude des parents d'enfants décédés, je crois que l'on pourrait en parler 5 minutes.
 

J'ai étais harcelée à mon entrée au collège par 3 filles de ma classe parce que j'étais boulote. Pour soulager la douleur morale, je me faisais du mal et j'ai commencé à perdre du poids. Ma mère s'est inquiétée mais je ne voulais rien dire. Un jour, elle m'a surpris en train de me blesser et j'ai craqué et ai tous raconté. Quand elle est aller voir la CPE, celle-ci n'a rien voulu faire car elle refusait de me croire. Le lendemain, un surveillant qui avait entendu l'entretien avec la CPE a pris les 3 filles à part. Comme celles-ci étaient des élèves "modèles", juste le fait qu'il mentionne les sanctions risquées s'il voyait quelque chose, mon calvaire s'est arrêté. Il m'a ensuite aidé à reprendre confiance en moi et a relevé la tête. Je ne le remercierai jamais assez.
 

Depuis ma plus tendre enfance, j'ai été diagnostiqué " presque surdoué " (j'ai un problème de repères dans l'espace)
J'ai donc sauté une classe et je suis arrivé en CP alors que je savais lire, écrire et compter alors que les nouveaux camarades apprenaient eux, tout juste à faire cela. J'ai été boudé, éloigné des groupes. Sujet à des moqueries, des critiques de mon CP à mon CM2.
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J'ai été victime d'un début de harcèlement à 13 ans, par jalousie parce qu'en tant que bonne élève, les garçons voulaient travailler avec moi, les autres filles se sentaient alors à l'écart et ont commencé à m'insulter, à jeter mes affaires etc... J'ai pu en parler avec mes parents et des mesures ont été prises au niveau de l'école pour que ça n'aille pas plus loin (convocation, conseil de discipline pour les auteurs). Cela y a mis fin. Et j'ai pu continuer à aller à l'école en toute sérénité.
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Mon fils est un enfant dit précoce il a été harcele de la primaire au collège il s'est déscolarisé a cause de ces harceleurs ces enfants se retrouvent en échec scolaire et lorsqu'il y a un Parent qui s'en inquiète notamment quand celui ci est monoparentale on l'a catalogue tout de suite comme cas social parle qu'il dérange le système. Je n'ai eu aucune réponse j'ai du me débrouille seule j'ai a porte plainte et au tribunal ces enfants ont eu une mise en garde avec suivi mais ce n'est pas assez aujourd'hui mon fils a 26 ans et comme avenir rien aucun diplôme et chômage des qu'il est fasse a une difficulté il ne peut faire fasse avec le passif. En tant que mère j'ai a eu la haine et la rage désolée c'est fort mais c'est ce que j'ai ressenti après car aucune écoute et aucune solution de l'éducation nationale.
 

Bonsoir je regarde votre émission est quand j écoute la ministre de l éducation sa me mets en colère il y a une dizaine de jours nous nous sommes rendu conte que notre fille subit du arcelement  est s est fait des l'aération nous avons  alerté le collège qui n'a eu aucune réaction il a fallu porté plainte pour que les choses commence à bouge mais nous avons toujours pas été contacté par le cpe et la directrice qui est d'une indifférence total alors quand j écoute la ministre qu'elle arête de faire de la politique mais plutôt defaire un vrais travail de fond  merci jais  47 ans est suis de la dass est j'ai subi du arcelement  une parti de ma vie est je vois que les choses ne change pas malgré les années  est je trouve même que ce la empire c triste.
 

J'ai vécu du harcèlement scolaire dans mon collège durant 5 ans, que cela soit au sein du collège ou dans le car qui me transportait. J'ai connu de grandes souffrances morales, j'avais la peur au ventre quasiment tous les matins au moment de prendre le car, je prenais sur moi pour essayer de ne pas trop montrer que j'angoissais, que j'avais honte de cette situation. Je faisais des cauchemars, j'ai eu des idées suicidaires qui se sont concrétisées quelques années plus tard... A la suite de toutes ces brimades, j'ai fini par me détester et me déprécier.
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J'ai 40 ans et j' ai été harcelé lorsque j'étais en pension. J'avais un physique androgyne quand j'étais ado et très vite de nouveaux mots me venaient aux oreilles : tapette, suceur de bite etc.... Les trois choses qui m' ont le plus marqué ont été qu un abruti m' a dit au Self service du dej qu il ne voulait pas être a coté de moi car il avait peur d attraper le sida, un autre n a rien trouvé de mieux de se masturber et de déposer sa semence dans mon chausson lorsque j étais en train de dormir dans le dortoir et quelques imbéciles avaient écrit mon nom dans les toilettes avec mention ´´salope'´.
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J'ai toujours été la fille appréciée de tous, plutôt mignonne, entourée de véritables amis. Et ceci durant toute mon enfance. Il y a certes eu cette fois-là, à l'époque du collège où j'étais très mince, et le garçon pour qui je craquais m'avait balancé un "tu ressembles à rien, regarde tes jambes ! T'es qu'un gros thon !" (Contradiction....) Ses amis avaient rigolé, et beaucoup de monde avait entendu. J'ai pleuré durant pas mal de temps. Mais j'ai eu la chance d'être entourée de personnes qui ont su prendre ma défense. Et depuis ce jour je me suis interdite de me laisser me marcher dessus. J'ai pris ma revanche sur le temps, j'ai pris un peu de poids, j'étais devenue l'une de ses filles "populaire" et je l'ai nargué dès que je l'ai pu et lui rappelant ce qu'il avait pu me balancer.
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Mon fils a 29 ans actuellement , il a été harcelé pendant 3 années du primaire en  cm2 et après au collège en 6 ieme et 5 ieme. Cela a commencé suite à  une attitude de son institutrice en cm2 , étant en colère lui a pris son cartable et l'a jeté à terre et l'a traité de Mr je sais tout . De là le calvaire de mon fils a commencé . Il c'est fait battre et insulté par plusieurs élèves qui suivaient leur leader. J'ai porté plainte mais rien n'a suivi. Arrivé en 6 ieme ça à continué , les professeurs disaient que ça ne les concernaient  pas . En 5 iéme mon fils a eu plusieurs fois des chevilles foulées il disait à chaque fois qu'il tombait tout seul, il a eu le plexus fêlé il ne savait pas comment c'était arrivé ext ext..
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J'ai été harcelée depuis la 6ème , je tiens à dire que j'en souffre encore maintenant... Je suis actuellement en 4ème , je vais simplement dire que ces gens qui font ça sont de gros idiots , ils n'ont aucune vie , je sais que c'est dur mais on va tous passer cette épreuve , il faut s'y faire , c'est comme ça , sachez le , vous n'êtes pas seuls je suis là ! Merci d'avoir lu ce message !
 

D'abord pour France2 : pourquoi diffuser cette émission, qui se veut active à une heure où les élèves sont couchés ???
Et pour le harcèlement, je suis ahurie que l'on ne parle absolument pas de ce que les harceleurs se permettent : il y a un ENORME PROBLEME à la base dans la famille des enfants qui se permettent, sans gêne, sans tabou, sans réticence, de maltraiter ainsi un de leurs pairs!!! Où est l'apprentissage du RESPECT de la PERSONNE humaine ? Aucune mention, ni même allusion !!!  Une mère de 3 enfants, qui est aussi enseignante et se bat pour ce RESPECT mutuel.
 

J'ai souffert de harcèlement et mon frère aussi! C'est une douleur inexplicable! S'en sortir n'est pas facile mais quand on y arrive plus rien ne peut nous atteindre ( en tout cas pour mon cas). Et je prendrais ma revanche! Et les seuls responsables sont l'EDUCATION NATIONAL! Je le dis haut et fort! Que des lâches qui s'en lavent les mains! Tout pour pas que l'établissement devienne infréquentable! Honteux! Ils savent tous ce que c'est le harcèlement mais préfèrent dire que se sont des gamineries!
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Les années que j'ai passées à l'école primaire ont été une angoisse au quotidien. Enfant précoce, j'ai attiré la jalousie de mes camarades, qui, au sein d'un petit village, étaient pour certaines mes propres voisines. Dès le CP, l'anxiété m'a provoqué l'apparition de nombreux tics, qui étaient l'occasion pour les camarades moqueurs de s'en donner à cœur joie. A 10 ans, une des "copines" s'était fait la place du "chef". Elle installait des situations de chantages à répétition, face auxquelles j'étais la seule à m'élever.
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J'avais 11 ans lorsque j'ai commencer à être victime de harcèlement scolaire. J'était interne, un peu naïve et à  l'époque, le terme de harèlement n'était pas encore prononcer. Lorsque que je dormais la nuit, au dortoir de l'internat, des filles me soufflait des choses comme " on va te butter " ou " Va manger tes morts ". Elles ont aussi urinez sur mon lit et mélanger tout ça avec du shampoing pour que je quitte le collège au plus vite.
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J ai 35 suis devenue psychologue et je rentre dans la tête des responsables des écoles qui ne bougent pas qd des enfants sont harcelés et j incite les parents a porter plainte. Bref au collège j étais introvertie et fille de gendarme et pdt 3 ans j ai été insulté et frappé tous les jours. En 4 eme j ai voulu mourir mais cela n a pas fonctionné et après cela s est arrêté, ils m ont laisse tranquille alors qu avant la directrice avait connaissance de mon calvaire ( mes notes étaient devenues catastrophiques alors qu avant j étais 1ère de ma classe) et elle n a rien fait car elle avait peur des représailles de familles de la cité. J ai donc dû subir pour la tranquillité de cette personne.
 

Intégrée et heureuse pendant toute ma scolarité, tout à basculer en 3e. Je pensais avoir des amies et même une meilleure amie. J'ai été rejeté par toutes les filles de ma classe du jour au lendemain, parce que j'étais sorti avec le mauvais garçon, celui qui plaisait, celui qui était convoité et qui au final s'est trouvé n'être qu'un idiot. Les filles, peut être par jalousie, surement par jalousie, ont arrêté de me parler, commencer à lancer des rumeurs sur moi, m'insulter, m'ont fait perdre ma meilleure amie parce que les autres filles lui ont dit que je l'avais insulter. ça a duré des mois. La seule chose qui m'a fait tenir, c'était la perspective que dans quelques mois j'allais quitter le collège pour le lycée.
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J'ai été harcelée pendant 3 ans, de la sixième à la quatrième. À plusieurs reprises, plus d'une dizaine de personnes m'ont littéralement "tabassée". C'était l'occasion d'une attraction formidable dans la cour de récréation, puisque tous se réunissaient pour assister à la "marave". On m'a aussi volé des bijoux, craché sur mes affaires et mis du ketchup dans un bonnet que j'adorais. J'ai jeté ce dernier et prétendu l'avoir perdu, préférant me faire disputer par ma mère que de devoir assumer la honte de le remettre en présence des coupables.
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merci de faire savoir à tous ces témoins (les survivants) qu'ils sont très beaux: ces filles et garçons ont comme point commun d'être vraiment beaux et comme moi à leur âge, ils ne le savent pas et leurs harceleurs tortionnaires étaient sans doute jaloux. La jalousie fait des ravages. Bravo à la maman de Marion quand elle dit "on peut battre le harcèlement", c'est comme cela que commence la victoire: NE PAS DIRE QUE CELA EXISTERA TOUJOURS!
 

Très beau reportage. J'ai moi même subi une situation de harcèlement en 2nd (moqueries, surnoms donnés, mise à l'écart...). Aujourd'hui je suis professeur des écoles et j'essaye de prévenir le phénomène comme je peux dans ma classe (cours d'instruction civique et morale, au quotidien lors du règlement des conflits...).
 

Bravo pour ce film non violent qui montre l'ultime violence dans toute sa perversité. Dommage que le directeur des programmes de France 2 trouve préférable de raconter l'histoire de la principauté de Monaco, plutôt que ce manifeste important, au jeune public directement touché. Un replay à 20h30 montrerait que le service public a compris sa mission d'information, d'éducation et de prévention. A bon entendeur, salut.
 

J’ai rencontré des problèmes de phobie sociale depuis toute petite. Au collège, j’avais déjà tendance à servir de tête de turc, sans que ce soit trop grave. Je commençais juste à prendre de l’assurance qu’à la fin de la troisième, j’ai dû quitter la France pour Londres. Dans mon nouveau lycée, j’ai vite été assez révoltée par le harcèlement moral et sexuel dont j’étais témoin. Je m’en suis tirée pendant le premier trimestre. Hélas ! Ça a tourné au désastre au second trimestre. Ça a commencé par une fille, qui n’en était pas à sa première victime.
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Bonjour,
Je suis moi même un ancien harcelé scolaire. En effet de la maternelle jusqu'à la fin du collège je me suis fait harceler de différentes manières. Pour cela j'ai eu de nombreux rendez-vous avec différents psychiatres pour savoir si le problème ne venez pas de moi. Il en conclure le contraire.  La principale raison étant que je ne savait pas m'affirmer tant sur le plan verbal que physique. Justement cela a prit fin quand j'ai commencer à mieux répliquer que mes agresseur.
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Ce reportage devrait être diffusé dans les collèges et lycées.
Au moins pour les rentrées en 6ème.
 

J'ai été victime de harcèlement scolaire pendant plus de 10 ans que ce soit durant le primaire, le collège ou le lycée à cause d'un handicap physique que j'ai depuis ma naissance. Le fait que je sois ami avec des gens qui n'étaient pas "populaires" a contribué à mon isolement. En 2010 alors que j'étais en Terminale j'ai voulu mettre fin à mes jours mais heureusement parce que je me suis rappelé que j'étais tout de même aimé par certaines personnes je ne suis pas passé à l'acte.
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Je  pense  qu'il  faut  rendre  une  charte  obligatoire  concernant  tout  ce  qui  est  lié  au  harcèlement  discrimination  etc  dans les  écoles,  collèges  et  lycées ,  avec  une  formation  obligatoire  pour  tous  les  élèves .  Le  respect  de  cette  charte  rendra  pénalement  responsables  les  harceleur  même  mineurs!! Tous  les  parents  devront  également  signer  la  charte.
 

Quelle claque que ce numéro d'infrarouge... Bravo pour ce reportage et surtout bravo aux enfants et parents pour leur dignité, leur courage et leurs témoignages si touchants. Des larmes me sont venues, mélanges de tristesse et de colère aussi, en entendant notamment les réactions qu'ont eues les proviseurs et représentants de l'institution supposés protéger nos enfants. Alors oui on a envie d'agir, d'aider, pour protéger, sauver, dénoncer, et que "plus jamais ça"...
 

Durant de nombreuses années, j'ai été victime de harcèlements tant physiques que moraux... Aujourd'hui, je pense que ce qui me fait le plus de mal, c'est de m'y être habituée. Ne diffusez pas vos opinions, ne soyez pas un peu différent, soyez à la mode, demeurez un clone qui pense et parle comme tout le monde...
Que ce mal ne vous rende ni muet, ni violent, mais vous fasse parler et témoigner, afin qu'un jour, les administrations et le gouvernement trouvent un moyen de réduire ces attaques.
 

On constate le harcèlement , on le dénonce, on compatit mais qui parle de ces dizaines, centaines, milliers d'enfants harceleurs qui sont aussi les nôtres ? Il faut mettre des mots pour qualifier leur attitude : monstrueuse, cruelle, lâche... En tous les cas il faut légiférer au plus vite pour les empêcher de nuire, les obliger à assumer leurs actions, car pousser un autre enfant au désespoir jusqu'au suicide est juste criminel!  Parents réveillez vous. Cspas des extras terrestres qui torturent mais bien des enfants, le votre, peut-être le mien...
 

Excellent reportage, qui mériterait d'être présenté systématiquement aux enfants entrant en sixième dès les premiers jours de leur scolarité, et de débattre avec eux afin de leur expliquer ce qu’est cette réalité. Il ne faut pas perdre de vue qu’en rentrant en sixième, les enfants se retrouvent propulsés dans un monde de plus grands que soi, en sortant juste de l’univers de la jeune enfance. Ils n’ont donc aucune idée de ce qu’est le harcèlement en ignorant même jusqu'à la signification du mot. Le harcèlement est beaucoup trop caché par les responsables des établissements scolaires qui ne veulent pas voir trop de vagues se former autour d’eux, et qui ont peur de la mauvaise réputation qui entacherait leur établissement.
 

J'ai été harcelé depuis la maternelle. Au début, c'était seulement quelques fois dans l'année. Puis, une fois arrivé à l'école primaire, la plupart des élèves se sont acharnés sur moi car je ne parlais pas. J'étais atteint de "Mutisme Sélectif", un handicap qui m'empêchait de parler en dehors de mon domicile. Pour moi, c'était une double peine : il fallait supporter ce handicap en plus du harcèlement. Les élèves me traitaient sans arrêt de "Mongol", ils se regroupaient tous autour de moi dans la cour de récréation, ils rigolaient, m'insultaient et parfois, ils me frappaient.
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J'ai été victime de harcèlement lorsque j'étais au collège. A l'époque, j'ignorais encore que j'étais surdouée. Or, les surdoués n'ont pas la même manière de penser que les autres - c'est d'ailleurs pour cela que l'on nous appelle des zèbres. Les gens disaient que j'étais bizarre; et puis j'avais des bonnes notes, voire d'excellentes notes, et je portais des lunettes. "Chouchou", "têtard à lunettes"... tels étaient mes surnoms.
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Bonjour , je vous parle par rapport au harcèlement... En effet, j'en ai été victime pendant 7 ans. Cela a commencé en sixième où mes bourreaux me traiter de tous le noms, m'insulter sur mon physique. On m'a harceler car je traînais avec des personnes qui n'était pas apprécier par les plus "populaire" du collège. J'en ai parlé mais le personnel d'éducation n'a jamais rien fait. Une fois mon père est intervenu chez l'un de mes harceleurs. Le pire est venu après les insultes fusées de partout...
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Je voulais souhaiter beaucoup de courage à tous les harcelés. Moi même j'ai été harcelé pendant toutes mes années collèges. Cela à cesser quand je suis parti dans un lycée professionnel, où j'ai donc cesser de croiser mes harceleurs. Ces 4 années de collège ont été très dur, on m’emperchait de sortir du bus pour ne pas rentrer chez moi, on me "bouchait" la bouche, pour ne pas dire au chauffeur de s'arrêter à mon arrêt et on m'a parfois taper !! Et puis toutes les paroles qui ont été très blessantes !!
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J'ai 27 ans et j'ai connu diverses formes de harcèlement au cours de ma scolarité et ce dans des établissements privés. Jamais extrêmement violentes mais quasi toujours quotidiennes. Je ne pensais pas que ceci était du harcèlement scolaire, le mot me semblait trop fort.
En grande section une petite fille me tapait dessus sans raison apparente. La maîtresse la reprenait mais rien ne changeait.
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Pendant 4 ans j'ai été victime de harcèlement scolaire, qui a commencé à cause d'un professeur, il a monté les autres élèves contre moi, inventait des chansons pour se moquer de moi. Quand j'ai quitté sa classe, les élèves ont continué à m'exclure, à se moquer de moi.
C'est en changeant d'établissement que les choses se sont arrangées, mes parents ne comprenaient pas à l'époque pourquoi je ne voulais pas aller à l'école ni pourquoi mes notes avaient chuté.
Aujourd'hui, ce harcèlement reste une plaie ouverte et un sentiment de grande injustice.
 

J'ai 16 ans et j'ai été victime de harcèlement scolaire qui aurait pu très mal tourné. Tout en crescendo, en commençant par des insultes, des insultes glissées à l'oreille en passant par les mots collés derrière le dos, les insultes dîtes sous les yeux de professeurs, telles que : salope, grosse pute, gros thon, t'es qu'une merde, tu sers à rien et bien sur le silence des professeurs, voir pire, certains en rigolais.
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Bonjour, je m'appel Florian.
Je n'ai pas subi de harcèlement physique mais morale, toutes mes années collèges j'ai souffert de personnes qui m'insulter en permanence.
Depuis jeune je voulais faire coiffeur, et j'avais pour habitude de ne rester qu'en compagnie de filles. Et j'ai de suite était classé de "GAY" donc tous les jours j'avais le droit à "Salut Pd", "Ta gueule l'Homo" et je passe sur toutes les allusions..Je n'en ai parlé à mes parents que lors de ma dernière année de 3° car il y avait le Brevet à la fin de l'année.  Et cela faisait depuis quelques années que chaque mois j'avais au moins 5/6 absences, je simulais des maux de ventres, de têtes pour avoir au moins quelques jours de repos...
Les années Lycée, j'ai eu encore quelques insultes mais heureusement en progressant dans mon cursus scolaire les mentalités évoluent et maintenant je suis en Université et je n'ai plus aucune insultes, les gens ne parlent plus sans me connaitre.
 

Ça a commencé j'avais 13 ans. Je revenais au college apres plusieurs semaines d'absences dûes a une maladie. Autant que je me souvienne, plus personne ne me parlait, on me regardait etrangement, on ricannait. C'est comme ça que ça a commencé. Puis, les choses sont allées en empirant, on m'insultait, se moquait de mes cheveux, de mes dents, mes habits, ma facon de rire, de parler... on me conseillais certains deodorant ou shampoing en me ventant leur efficacité... puis ça a ete des menaces plus importantes à la récrée.
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Aujourd'hui j'ai 24 ans.
Le harcèlement scolaire a commencé pour moi en primaire (CM2), j'avais 10 ans. Ca a débuté par de simples insultes avec un groupe de garçons (la grosse etc..). J'avais quand même la chance d'avoir quelques amies donc c'était pas régulier mais arrivait de temps en temps.
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Je m'appelle Mia, je suis une collégienne de 14 ans. J’ai été victime d'harcèlement scolaire au cours de mon année de 5ème. « T’es moche », « plus tard tu feras le trottoir pour nourrir tes gosses », « t’as qu’une vie de merde » était mon quotidien pendant 6 mois dans ce petit collège de campagne.
Un groupe de sept personnes de mon âge (majoritairement des garçons) m’est tombé dessus, du jour au lendemain, pour me faire subir ces attaques verbales, ces insultes et ces humiliations psychologiques.
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Je n'ai jamais subit de harcèlement, mais pourtant je sais ce que c'est. J'ai reçu des insultes pendant toute ma 6ème seulement parce que j'étais PETITE, mais surtout deux de mes amies se sont fait harceler consécutivement. Je les ai vues sombrer petit à petit sans pouvoir rien faire que d'être là avec elles. Et c'est ça le plus dur dans ces violences, c'est que dans une classe où quelqu'un est harcelé, on se rend vite compte que soit certains rejoignent le harceleur, ce qui crée un groupe encore plus destructeur, les autres détournent le regard et font comme-ci rien ne se passait.
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J'ai été victime de harcèlement scolaire à l'école primaire, puis en 4 ème au lycée.
En primaire j'ai été étranglée, puis frappée. J'ai eu le courage d'en parler à mes parents, qui sont aller directement voir l'enseignement scolaire, mais comme ils n'ont pris aucunes mesures, ma mère est donc aller voir les harceleurs. Grâce à elle je n'ai plus était victime. Cela à durer peu de temps.
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J'ai moi aussi subit un harcèlement au collège voilà presque 15 ans. Quand je suis rentrée au collège j'étais une gamine joyeuse et quand je l'ai quitté j'étais une adulte dépressive.  J'ai subis les moqueries,  les brimades, les imitations humiliantes, jusqu'au vol et menace. J'allais à l'école la boule au ventre, j'ai commencé petit à petit à tomber dans la boulimie et à m'automutiler. L'équipe enseignante était au courant du problème, l'infirmière et la conseillère d'éducation aussi. La seule solution proposée par le collège que je change d'établissement, double peine !!!
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J'ai été harcelée pendant un an au collège ( en 4ème)  : je venais d'arriver dans ce collège et je ne connaissais personne, je suis rousse et apparemment c'est comme être un extraterrestre, j aurais eu les cheveux verts ou violet je me demande si sa aurait changé quelque chose.  Alors les cartouches d'encre dans les cheveux pour que je me les teigne, les moqueries... bref dans les couloirs ou en cours, les garçons et même les filles s amusaient à se moquer : oh la rousse oh le dictionnaire etc. J'ai du arrêter les cours avant la fin d'année et la principale (ainsi que la CPE ) trouvaient que j'étais "hypersensible" et qu'il fallait que je retourne au collège.
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J'ai été victime de harcèlement au collège. Arrivée en 6ème, mon corps se formait déjà beaucoup par rapport aux autres filles. Souvent on me donnait l'âge de 15 ans alors que j'en avais 11. J'étais souvent la cible du groupe de jeunes filles "populaires" qui se moquaient régulièrement de ma poitrine. "Paire d'obus", "tu vas te cogner avec", "t'assommes pas quand tu cours" et j'en passe. Des garçons de 5ème-4ème on repris le flambeau. Le soir, en rentrant de l'école, j'avais régulièrement des messages sur MSN.
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Victime de harcèlement dès le 5ème jusqu'en Seconde, je tenais aussi à témoigner pour que les choses changent une bonne fois pour toutes. Tout cela a commencé lorsque l'on a découvert que j'avais une maladie génétique et que j'ai du m'absenter durant l'intégralité du dernier semestre de 6ème pour subir une greffe. A mon retour en 5ème, j'ai été le souffre-douleur de mes camarades (même après avoir redoublé) pour des raisons que j'ignore encore aujourd'hui et pour une très mauvaise gestion de l'affaire de la part de mes professeurs.
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J'ai eu plusieurs périodes lors de ma scolarité où j'ai été souffre-douleur.
Depuis le début du primaire j'ai eu le droit au insultes quotidienne, mais au final ce n'était que des petites brimades d'enfants. Arrivée au collège, j'ai réussis à me faire des amis, à être appréciée des mes camarades de classe. Ensuite je suis rentrée au lycée et à l'internat. Pour les journées en cours tout ce passait bien, étant la seule fille de la classe, les garçons on fait attention à moi et a bien m'intégrer.
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Il y a 2 ans,j'ai été harcelé avec mes amis,ce fut très dur,mais avec un prof,on en a parlé et maintenant, tout va beaucoup mieux!
 

Enfant assez précoce et brillant, j'ai été un souffre-douleur dans mes années collège, j'ai perdu toute confiance en moi depuis. Ces situations ne se détectent pas nécessairement, pourtant elles sont d'une violence sans nom, et les conséquences semblent irrémédiables. Aujourd'hui j'ai 22 ans, je suis en psychothérapie depuis l'âge de 15 ans, je souffre toujours d'épisodes dépressifs répétés, de pensées suicidaires, je suis en difficile reprise d'études après plusieurs échecs et me sens incapable de concrétiser quelque projet de vie que ce soit, je rêve encore la nuit des scènes que j'ai vécu.
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Je suis rentrer en 6 eme je pensais rentrer des ami(e)sa malheureusement j'ai eu que des ennemis pour quoi je ne sais pas j'ai était la tête de turque de la jusqu'a la 3ème . J'avais un petit groupe de copines mais qui n'en servait rien bien sur. Baisser mon pantalon devant tout le monde, des claque, coups de pied, se faire couper les cheveux ... Mes parents de voyaient rien ... Pour faire un Apel au secours je suis tomber dans l'anorexie je mangais plus ... A la fin de 3 eme je me dis enfin le cauchemars et finit malheureusement je rentre au lycée et la je retrouve certaines filles qui était avec moi et c'est repartit et la j'ai tout avouer a ma mère ! Combien de fois je voulais mettre fin a mes jours ... Combien de fois mes veines ont subit ! Combien de fois j'ai signaler a la CPE et rien combien de fois ! Je soutiens l'harcèlement scolaire !
 

D'abord frappée et insultée à répétition dans un collège dit "sensible", l'arrivée dans un établissement aisé et réputé suite à une déscolarisation d'urgence devait être une libération... Puis les menaces, rumeurs, manipulations et surtout harcèlement par SMS ou appels nocturnes ont fait que je me suis mise à regretter les coups : eux au moins ne me suivaient pas chez moi...
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Bonjour,
Je suis un jeune garçon de 13 ans et je m'appelle Damien*. J'ai été harcelé et je le suis encore, mais je ne sais pas si c'en est un vraiment.
Mon premier harcèlement a commencé en 6ème à 11-12 ans. Je m'entendais beaucoup avec un ami Ulysse* quand soudain, il trouve mes défauts et les instrumentalise pour m'insulter et me blesser.
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J'ai moi même subit le harcèlement Scolaire durant des années , cela a commencé en primaire il y a plus de 20 ans , des menaces etc..
Puis vain le collage , on me pousse , me donne des coups , j'en parle , de toute façon je rentre souvent en larme chez moi donc comment ne rien voir et la le gag le principal conseille a mes parents , au lieu de sanctionner les élèves concernés , de me changer de collége , je passe donc du public au privé , et la au lieu de s'ameliorer les choses s'agravent , je me fais cracher dessus , je prends des claques dans le bus
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Encore moi : l'établissement ne veut pas punir tous les élèves en raison de leur intelligence.
Eux pensent que cela va se passer et trop optimistes face à cette situation, ce qui entraîne une manque d'écoute.
De plus, la CPE qui m'a aidé est devenue répressive et ne sait pas que j'adopte des mauvais comportements à cause des élèves qui prennent le pouvoir et "enseigne" nous, élèves sans avoir conscience. Une honte ! Aidez-nous bon sang !
 

Encore moi (j'oublie tout !). J'ai fait de la dépression et mes parents ont mal réagi J'ai peur des élèves mais je ne le suis plus si ils sont sympas. Que faire aussi pour les parents qui ne savent pas que faire ? Informez-les !


J'ai été harcelé durant 2 ans, de la 6 ème à la 5 ème, avant que je demande à mes parents de me changer de collège. Je n'en ai jamais parlé à personne. Ce n'était pas un harcèlement par quelques personnes mais toute une classe qui se liguait contre moi, sans que je leur aient fait quoique ce soit. Les professeurs aussi aimaient se moquer de moi, et mes résultats ont chuté jusqu'au plus bas. Aujourd'hui je pense que nous devons faire bouger les choses, et créer des cours de morale pour que les jeunes ne grandissent pas sans certaines valeurs essentielles à la vie en communauté Démocratique.
 

Début 6ème, j'étais une élève assez timide, je voulais simplement me faire des amis mais je suis devenue la "cruche" pour les autres, oui cruche c'était mon surnom, parce que je pouvais manger à la table des gens que lorsque j'allais chercher de l'eau... du coup mes notes au plus bas ...
Bref une année d'enfer, ça m'a suivi jusqu'en 3ème où là j'ai craquée et j'ai fais une tentative de suicide.
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Je me suis faits harcelé en classe de 5ème. Aujourd'hui en 3ème, il est encore difficile pour moi de m'exprimer sur ce sujet. Tout commence comme d'un rien, une moquerie d'un élève, une brimade d'un autre... Puis des élèves se prennent au jeu, puis il incite d'autres à faire de même... Un cercle vicieux se met vite en place, on se sent stupide, impuissant, honteux, on se rejette soi-même...
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J'étais en 6-ème, j’allais au collège quotidiennement en  bus. Chaque jour, dans le bus, X s’en prenait à moi. J'avais une croûte de cicatrisation sur le visage. X se collait à moi pour me l'arracher. Le cauchemar commençait.
Je n'en ai parlé à personne.  Un jour j’ai fini par me  confier à mon frère aîné. Celui a menacé X. de lui « casser la gueule, s'il touchait encore son petit frère ». Le harcèlement s'est arrêté immédiatement. Quel soulagement ! C’est comme un cauchemar qui prend fin. Je ne remercierai jamais assez mon frère pour ça. J’ai eu de la chance que cela se termine aussi bien. Je comprends à quel point un enfant, un adolescent, puisse être complètement démuni face à ces situations de violence, de harcèlement,  sans pouvoir en parler à autrui. Je compatis avec toutes les victimes de ces violences en milieu scolaire.
 

J'ai reçu du Harcèlement dès mon entrée en 6 ème. J'étais dans un groupe sympathique, tranquille, je m'intégrais. Puis "il" est venu à me frapper, me mettre des coups de pieds, de poings sans raisons apparentes, on me retournais mon sac... On en est même venu à me lancer des cartouches d'encres dans le car. Elles fusaient sur moi, jusqu'à ce qu'une d'entre elle explose sur mes cheveux., j'ai dû supporter la honte d'avoir une chevelure rose pendant 1 mois et demi. Je n'avais rien dit à ma mère même quand je suis rentrée chez moi les cheveux "colorés".
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J'ai été souffre douleur en fin de primaire, en fin de collège et en fin de Lycée car, j'étais un peu plus mature que certain et la meilleure élève de la classe.
J'ai été tabassée, humiliée verbalement, destabilisée pendant les cours. Oui, j'ai pensé au suicide comme 60% des enfants dans mon cas. Jamais je ne suis passée à l'acte car je n'allais pas les laisser "gagner". Quand je parlais parfois à mes parents de ce qu'il se passait, ils n'écoutaient pas ou ne comprenaient pas. Sentiment que personne ne pouvait rien pour moi.
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L'entrée au collège, ce moment où tu es exclue car tu es soit-disant différente... "t'es moche, t'es grosse, timide et trop coincée" , être traitée comme le chien des autres élèves, surnom à l'appui "médor" parce que l'on est trop gentille et que l'on ose pas dire non. Des mots qui font aussi mal que les coups pendant moins d'un an et qui résonnent toujours en moi douze ans après...  Toutes ces moqueries qui peuvent briser une personne. Voir des psychologues d'année en année ça aide mais  aujourd'hui, cette période reste en mémoire et la blessure est toujours présente : gros manque de confiance en moi et sentiment d'infériorité. Il faut que cela cesse ....
 

Humiliations, moqueries, insultes, racket et même coups certaines années, c'est mon quotidien scolaire du début de la primaire a la fin du Lycée, quasiment non-stop. En y repensant, je n'ai pas souvenir d'une seule année qui se soit déroulée sereinement. Parce que trop timide, parce que mal dans ma peau, mal a l'aise avec les autres, parce que prise dans un cercle vicieux a ne plus savoir quoi dire, quoi faire pour arranger puis pour ne pas empirer les choses, parce que pas a la mode, parce que fille de paysan, parce qu'avec des gouts différents et décalés, (musique, lecture), parce que nulle en sport, parce que bonne en français.
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Je déclare avoir été victime de harcèlement scolaire du CE1 jusqu'à ma deuxième troisième et aujourd'hui encore j'en paye le prix fort. Cela a laisser une trace indélébile dans mon identité toute entière et même si ce traumatisme à fait ce que je suis maintenant et donc je ne pourrais le renier de ma vie, je ne souhaite cela à personne. Il faut que le regard des gens change à ce propos. Je me souviens de ma mère me disant "si personne t'aime à l'école c'est parce que tu es insupportable", "c'est parce que tu n'es pas assez bien" ou encore "c'est surement que t'as fais quelque chose de mal" lorsque j'ai voulu lui en parler. Horrible n'est-ce pas? Mais pourtant très courant..
Ainsi, je signe ce manifeste pour déclarer ma colère, contre ce harcèlement scolaire devenu banal pour tout le monde sauf la victime, ma peur pour les générations à venir, ainsi que mon soutien à ceux et celle qui comme moi l'on vécu ou qui le vive en ce moment même. Vous n’êtes pas seul.
 

J’ai pleuré comme une madeleine, sept ans après la fin d’un calvaire. Blottie sur le lit, regardant le replay du documentaire Infrarouge de France 2. Etonnant, dans un sens, comment des témoignages peuvent réactiver autant de douleur. Douleur quasiment endormie.
Harcèlement scolaire, deux mots mis bout à bout pour regrouper dans un ensemble abstrait tant de paroles et d’actes qui ont laissé malgré le temps des cicatrices rougeâtres tant physiquement que psychologiquement. Même le plus doux soleil, laisse encore entrevoir sur la peau brunie d’un bras le « Ratée » tracé au compas.
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Au plus loin que mes souvenirs aillent j'ai souffert de harcèlement...
Ca a commencé en maternelle. On se moquais de moi car j'étais habillée différement, peut etre trop gentille aussi, j'étais isolée.
Arrivée en primaire c'est devenue plus intense. Toujours pour les mêmes raisons, et du psioriasis sur les jambesen prime. J'avais beau leur dire que c'était héréditaire, que ca n'était pas contagieux, rien n'y faisait, j'étais une pestiféré.
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Bravo pour ce reportage qui est une réelle prise de conscience. Ma fille aînée va prendre le chemin du collège à la rentrée prochaine et je m'interroge et m'inquiète sur ce qu'elle va vivre ou bien subir.Je tenais à exprimer mon admiration et mon respect aux jeunes qui ont témoignés mais également aux parents des victimes .Car nous parlons bien de victimes .NON un enfant ne doit pas être contraint de changer d'école , c'est bien à ses bourreaux d'être conviés à changer ou bien à prendre la porte. Je ne comprends pas que les pouvoirs publics, les acteurs de l'enseignement restent muets et aveugles face à ces situations.
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Lorsque j'étais au collège, mes "amies" m'ont mise à part du jour au lendemain, sans raison: "on ne veut plus de toi comme amie".
Suite à ça j'ai subi un déchainement de violences verbales mais aussi presque physiques: des mots blessants au détour d'un couloir prononcés forts et de manière répétées, des pointages du doigt depuis l'autre coté de la cour, des plats renversés sur mon plateau à la cantine...
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Avec ma meilleure amie, nous avons subi des insultes au lycée, sur twitter, facebook, du harcèlement moral et verbal, aussi bien en face que sur les réseaux sociaux ou par sms, ou appels anonymes. On se prenait des insultes "putes, salopes" et pire encore, j'ai oublié une partie parce que c'est plus facile d'aller mieux quand on oublie, des rumeurs totalement fausses se sont formées "elle a couché avec untel, elle a dit ça à truc, elle a fait ça à machin", tout ça injustifié.
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Ca a duré du primaire à la fin du collège. Dans ma malchance, j'ai eu la chance que les réseaux sociaux n'existaient pas, et de ne pas avoir de portable. La chance aussi à partir de la 5° d'être deux à supporter insultes, coups, brimades ; parce que même si on ne se défendait pas soi-même, on défendait l'autre et on avait une oreille attentive en cas de besoin. L'envie de mourir, les scarifications j'ai connu, mais aujourd'hui j'ai avancé et je suis fière d'être celle que je suis.
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J'ai été harcelée pendant plusieurs années au collège, un peu en primaire. J'ai eu de la chance, ce n'était pas trop méchant. Parce que j'étais maigre on m'appelait, le squelette.
Parce que j'avais un nez bossu, la sorcière. Je n'avais pas d'amis, je ne "servais à rien", j'étais une "merde".
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J'ai été insultée, méprisée durant mes cinq années de primaire, tout cela à cause d'une phrase anodine que j'ai prononcée sans intention particulière: "Hier, j'ai mangé un yaourt périmé d'un jour". Ce surnom, "périmé", m'a poursuivit et me collait à la peau. La classe entière, sauf un seul ami, me martyrisait au quotidien, et même quelques personnes des classes en dessous, ne sachant rien de l'affaire, si affaire il y avait, prenaient part aux brimades. Pour suivre le mouvement. pour eux-même ne pas être rejetés. Pour rigoler. C'était "drôle", de voir une petite fille impuissante souffrir. D'autres insultes ont suivies comme: "tu veux des bananes", me traitaient implicitement de macaque. J'ai eu, heureusement, l'aide de ma famille et quelque soutien dans l'école, pour en sortir. J'ai eu de la chance, mais je repense régulièrement à cette période.
 

Cette campagne est boulversante. Cela fait du bien de voir qu'enfin on parle de se fléau. Et puis l'on se sent moins seul. Car il faut bien le dire pendant toutes ces années de harcèlement on a vraiment eu l'impression d'etre seul. Et en meme temps cette campagne réveille en moi de vieux démons. De vieux souvenirs que j'ai souvent tenté d'enfouir en moi. Je le rends compte que je ne suis pas guérit. J'ai encore du mal à assumer mon vécu. J'ai encore honte.
J'ai honte de raconter ce que j'ai vécu. J'ai comme l'impression que je redonnerai ainsi le baton pour me faire battre. J'ai honte de m'être laissée faire ainsi pendant tant d'années.
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Je suis moi aussi une ancienne victime de harcèlement, une de plus et malheureusement pas la dernière.  J'étais une élève sage, timide et discrète, douée pour les études. J'ai été victime de moqueries et insultes au collège. Cela se passait en classe et dans la cour, j'étais complètement isolée et mal. Les profs savaient ce qui se qui m'arrivait, le principal aussi, ça se passait sous leurs yeux. Une seule a réagi sans amélioration pour moi malheureusement. Les autres ne m'ont pas cru ou n'ont rien fait car bien évidemment c'est tellement  plus simple de fermer les yeux sur les souffrances d'une élève qui ne fait jamais de bruit et de faire comme si les harceleurs étaient des élèves sympathiques et drôles.
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J'ai était victime de harcèlement sa a commencer en primaire jusqu'en 3eme parce que j'ai eu plusieurs intervention médical les autres me traiter de nez de cochon ils me voyait differamant et me maitais de côté
 

Salut à tous.
De la seconde à la terminale, j'ai été touché par le harcèlement scolaire. De 15 à 17 ans. 3 ans de lycée qui garde un goût amer. C'est arrivé sans crier gare, on pense toujours que ça va frapper chez les autres, pas chez soi.
L'histoire commence pour des broutilles, en seconde. Une dispute avec une "amie", avec qui je ne suis plus vraiment sur la même longueur d'ondes. Un soir, à la sortie des cours, une partie de son nouveau groupe d'amis m'encercle, me chahute, cherche à m’impressionner. Je marche droit devant moi jusqu’à la maison, les yeux brouillés par les larmes, la peur au ventre.
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Mon harcèlement a duré pratiquement toute ma scolarité (du CP jusqu'à la Terminale), tous les jours par mes camarades de classe mais aussi des autres classes que je ne connaissais même pas. Tout a commencé avec mon institutrice de CP qui , pour une raison que j'ignore, me détestait, elle m'humiliait régulièrement devant toute la classe. Les élèves ont suivi. Brimades, croches pieds, insultes, exclusion....pendant des années. Même en changeant d'école en CE1 ça m'a suivi. Pour le supporter je lisais cachée dans la cour, je m'inventais un univers intérieur et heureusement ma famille est très aimante.
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Au College j'ai etait victime de violence gratuite (verbal et physique ) , je ne comprenait pas tout de suite pourquoi . Je savais que c'etait mal , mais je pensais que c'etait de ma faute alors je me remetais en question tout le temps et restais seul et avais honte de parler avec les autres . Je me suis donc renfermer sur moi meme et depuis je baigaie . Depuis je suis tres engagé contre (entre autre ) le harcelement que ce soit scolaire ou dans la vie de tout les jours . J'aimerai aller faire des interventions dans les colleges ou meme dans les ecoles primaires pour prevenir de ces violences .
Si les bonnes decisions sont prise et les personnes arrete de dir "Ils se calmerons quand ils grandirons cest normal " si on ouvre les yeux sur ce phenomene grandissant et de plus en plus jeune , alors on poura pretendre faire quelque chose ... Ces choses ne devrait pas se produir .
 

Lorsque j étais jeune, j ai subi les railleries d institutrices, coups de règles parce  que j étais gauchère et sous traitements. J'ai subi les moqueries, des coups en douce. Lorsque je me défendais ouvertement, on m a traité de caractérielle et certains, enfants et institutrices de débile...Je me retrouvais à cause d autres gamins sous la niche (bureau), ou au coin...J avais des pages d'écriture à faire après comme punition pendant que les autres allaient en cours de récréation, lorsque j'avais fini et je descendais les escaliers, une autre institutrice me coinçait me disant que je n'avais rien faire dans les escaliers et me faisait remonter en me donnant elle meme une punition...on me prenait par l'oreille...
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Je me suis fait longtemps harcele par des eleves de mon niveau depuis la sixieme . maintenant je suis en 4 eme et j'ai change de college car je n'en pouvais plus. cet harcelemlent m'a developpe un mal de ventre qui m'empeche d'aller dans mon nouveau college a cause de mes boureaux je vais voir un pedo  psychiatre tt les deux semaine et je vais au medecin ttes les deux semaine aussi
 

J'ai étais harcelé de la cinquième à la troisième, et quand je croyais cela fini, je suis désormais en 2éme année de lycée, et tout est redevenu comme avant...Insulte, regard... Je conseil à toute les filles ou garçons d'en parler, car c'est ça la délivrance, la solution c'est d'en parler... Le jugement des autres a toujours un impact même si certaines personnes le montrent moins que d'autres. Je soutiens parents, filles, garçons harceler à l'école, car j'en suis moi même victime, et je voudrais laisser une penser aux personnages partie tôt, pour des mots.µ


Dans mon cas ça a commencer en primaire, les autres filles m'excluaient de leurs jeux et se moquaient de moi. A cet époque ça ne me dérangeait pas vraiment je m'entendais bien avec les garçons de mon âge.
Arrivé au collège ça a été plus difficile à supporter.
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Bonjour,
Moi, ça a commencé au collège. De la 6 ème jusqu'en 5 ème.
J'était (et je suis ) quelqu'un d'introverti et ça au collège....
Je n’était pas assez féminine pour mes camarades (Pas de jupes ou de maquillage et mauvaises marques de vêtement) et comme je n'osais pas répliquer....
Bref, tous les prétextes sont bons.
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De ma deuxième année de maternelle a ma 3 eme j'ai été le souffre douleur d'une majorité de l'école . Et j'en garde encore des séquelle ... En maternelle a cause de mes formes j'avais le droit a un encerclement totale des personnes de la maternelle et je recevais des insulte comme " oh elle est grosse " , " elle est enceinte " ou encore " elle est moche " ... Puis en primaire on s'est pas déranger sur moi j'avais le droit a être au fond de la cours encercle majoritairement par des Cm2 qui s'amusait a me changer d'identité qui me forçais a faire des choses qui n'avais pas lieu d être en primaire( embrasser un garçon , ou alors j'ai eu le droit aussi a se que l'on me touche les fesses en CP ) .
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J'ai subi  le harcèlement moi aussi de la 6ème à la 3ème. Je n'en ai  rien dit à l'époque car je me sentais honteuse; Comme si les filles qui me faisaient subir ces brimades, moqueries, vols... avaient peut-être raison et que je le méritais sûrement. Parfois, je devenais violente avec elles quand l'injustice était trop violente. Je me souviens que suite à un vol de stylo encre auquel je tenais très fort, j'ai trainé une de mes tortionnaires tout le long d'un couloir par les cheveux...
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J'ai 25 ans et j'ai connu le harcèlement scolaire pendant toute ma scolarité. Pourquoi? Parce que j'étais bonne élève, parce que je n'osais rien dire, parce que je faisais "petite fille" face aux autres filles de ma classe, parce que j'étais trop bavarde... Tout était bon pour se moquer, m'humilier... Déjà à l'école primaire j'étais souvent celle qu'on isolait ou celle qu'on aimait bien "taquiner".
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J'ai été harcelée et régulièrement humiliée pendant toutes mes années de collège qui resteront les plus horribles de toute ma scolarité. J'étais une ado un peu boulotte et donc différente des autres. Entre brimades et vexations, il y a avait des jours ou je ne voulais plus aller à l'école ou a la piscine. J'étais très bonne élève et j'avais le sens de la répartie , c'est ce qui m'a sauvé. Avant mon entrée en seconde, j'ai perdu 10 kg et je me suis infligée un régime drastique...je buvais jusqu'a 5 litres d'eau par jour pour me faire maigrir tellement je me trouvais laide. J'ai évité de justesse l'anorexie.
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Harcelée pendant 1 an et demi dès mon entrée en 6eme. 4 filles de 4eme/3eme meneuses me harcelaient car j'avais eu le malheur de refuser de fumer une cigarette avec elles. C'était des insultes sur le chemin du collège, lorsque je les croisais dans le couloir, des courses poursuites pour me taper. Je venais de conditions sociales modestes, je n'étais pas habillée à la mode, j'étais bonne élève: j'ai eu des insultes sur mon physique, mes habits... Je faisais des détours quotidiens pour ne pas les croiser sur mon chemin. Je partais au collège avec la boule au ventre. Un jour, j'ai tenté de me rebeller mais elles m'ont poursuivies avec leur bande de potes pour me frapper.
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J’ai 33 ans et malheureusement comme plusieurs jeunes avec des origines comoriennes à Mayotte, j’ai subi  les pires insultes que je ne souhaiterai à aucun enfant, cela a duré toute ma scolarité (en primaire, collège, lycée) et même en dehors du cadre scolaire. En effet un de mes parents est d’origine comorienne et l’autre de Mayotte donc française, et ça à Mayotte c’est source et synonyme de MALHEUR. Je me souviens encore comme si c’était hier : les moqueries, les insultes, les pinçages sous la table en classe, les frappes, mon sac jeté par terre, les ragots, la mise à l’écart, et j’en passe…
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Une remarque : on semble admettre, et considérer comme normal qu'il y ait PAR DEFINITION un bouc émissaire dans chaque classe : mais ne pas lutter contre cet état de fait, n'est-ce pas  déjà faire preuve d'une incroyable lâcheté de la part du corps enseignant ???
 

En voyant cette campagne, j'ai enfin pu mettre des mots sur ce que j'ai vécu: "harcèlement scolaire"...
J'ai toujours été timide, je n'ai jamais osé aller vers les autres, j'ai toujours eu honte de moi, sans savoir pourquoi. Je me suis toujours trouvée différente des autres: je n'étais pas habillée avec des super marques, je ne me maquillais pas à 14 ans, je ne passais pas mes récrés dans les toilettes à vérifier ma coiffure, et je préférais courir et rire très fort. Qui pensait qu'un jour, ces jeux innocents m'attireraient les foudres des autres élèves, avec des conséquences aussi graves?
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Mon fils souffre de harcèlement dans sa classe de cm2 mené principalement par deux filles mais relayé aussi par 5autres élèves. Depuis que la parole s'est libérée la directrice à alerte les parents. Beaucoup ont bien réagis en parlant avec leurs enfants mais les parents des enfants principaux refusent d'admettre la participation de leur enfant, et attribué le problème à mon fils.
 

J'étais en 3 ème et c'était la première fois que je sortais avec un garçon.  C'était le plus populaire du lycée. Toutes les filles je suppose étaient jalouse de ma place. Pour se venger elles venaient me voir et me brutalisaient en me traitant de "salope" ou "sale pute". Elles profitaient des moments ou j'étais seule ou dans un recoin du collège pour me bousculer et me traiter de grosse ou autres grossièretés.  J'étais une fille plutôt menue avec quelques formes mais ces insultes m'ont poussé à me faire vomir et à perdre la fin.
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Témoignage bouleversant sur France2. Dommage que cela passe aussi tard. Merci de diffuser ce genre de documentaire malheureusement nécessaire aujourd'hui pour réveiller la société mais ça fait longtemps que ça existe... Accompagnement du personnel encadrant, accompagnement des parents (souvent dépassés par la nouvelle technologie, notamment... Facebook, Twitter, Ask sont trop méconnus).
Il est essentiel que les moyens soient mis mais surtout que le tabou se lève au sein de la société pour protéger les victimes et punir les bourreaux. Ne pas isoler encore plus les victimes, comme on a pu le voir dans ce reportage. Prévention ET réaction.
 

Lorsque j'étais enfant, mon avance scolaire a été la source de mon harcèlement. J'étais insultée, rejetée en permanence : je n'étais qu'une "moins que rien", "hideuse" et "incapable d'être d'être aimée". J'avais 7 ans, cela a duré 4 ans et j'en souffre des conséquences encore aujourd'hui.
 

Bonjour, je m'appelle Alexandre, et du CP au CM2, j'ai été victime d'harcèlement d'un petit groupe de garçons. Remarques sur mes dents et sur mes vêtements, insultes, coups, parce que j'étais un "intello". Le pire pour moi a été la non-réaction du directeur et instituteur de mon école, qui parfois rentrait dans le jeu de mes "harceleurs", en ne les punissant pas, et même parfois les soutenant. Mes parents m'ont toujours défendus, en allant voir au moins une fois par semaine le directeur, mais cela n'avait aucun effet. Ma mère a refusé de me changer d'école, car "cela aurait été une double punition pour moi". Je n'ai pas de séquelles physiques ou psychologiques, mais le fait que les équipes pédagogiques prennent parfois cela à la légère me révolte. Merci pour ce documentaire.
 

Deux années d'enfer en première et en terminale. Mon souci ? Enfin mes soucis, être une bonne élève et venir d'une autre ville. J'étais la fille timide, introvertie, le profil de celle sur qui on pouvait tomber. Les sales blagues, les humiliations et les profs qui ne voient rien. "Il faut qu'elle s'en durcisse", qu'est-ce que je l'ai eue en haine cette phrase. En parler à mes parents fut la meilleure des décisions. Ce fut pire après car en plus, j'étais une balance. Mon proviseur a été top, il n'a jamais douté de ma parole. De regret, je n'en ai qu'un seul : ne pas avoir porté plainte. Le temps a passé, je n'ai ni oublié, ni pardonné; en revanche, j'ai bien grandi : je suis instit.
 

J'ai été harcelé au collège, taper dans les coins, menacé de mort. J'en ai de suite parlé je n'ai pas eu peur d'en parler. il faut en parler.
 

Au collège je me suis faite frappée sur les cuisses devant l'établissement.  Bien évidemment aucune réaction de personne et j'a vu que j'avais eu des marques sur les cuisses en me deshabillant...
Qu'on ne laisse pas faire ces brutes!
 

De 11 à 16 ans, j'ai été harcelé à cause de mon homosexualité alors qu'à l'époque je ne le savais même pas... Ce harcèlement a été très perturbant pour mon développement personnel et pour mes capacités d'intégration, encore aujourd'hui j'en ressens les séquelles au quotidien.
 

J’ai survécu !
J’ai 18 ans aujourd’hui et j’ai été harcelée de mes 11 à mes 14 ans dans un collège public. Mon harcèlement se traduisait par des insultes, des bousculades, des moqueries, des menaces ou des vols. Je suis rapidement devenue le souffre-douleur de tout le collège. Oui j’étais issue d’une famille plus aisée que les autres, oui j’avais de meilleures notes, mais est-ce que l’on doit souffrir pour ça ? Contrairement à beaucoup j’en ai parlé à mes parents et heureusement que je l’ai faits, je crois que sinon je ne serais plus la aujourd’hui pour en parler.
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Au college, j'étais plutôt bonne élève et pas très bonne en sport. Pas très adroite et plutôt timide, j'ai été harcelée par des filles pendant toutes mes années de college. Des insultes, des manipulations. Le harcèlement s'est finalement arrêté puis a repris en terminale quand mon ex petit ami avec ses copains ont décidé de m'insulter sur mon blog, toujours sur mon poids. Tous ces événements ont contribué au fait que, 10 ans après, je suis toujours timide et me sens toujours laide. Ne laissez pas faire.
 

IL FAUT QUE CELA CESSE. BEAUCOUP TROP DE JEUNES SONT VICTIMES D'HARCELEMENT. A L'ÉCOLE,  À DOMICILE, ILS NE SE SENTENT EN SECURITE ET APAISÉ NULLE PART. DES FAMILLES DÉCHIRÉES A CAUSES DE PETITS MORVEUX IMMATURE. IL FAUT PLUS D'ENCADREMENT A L'ÉCOLE. PLUS DE SÉCURITÉ SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX. COURAGE A LA FAMILLE.... JE SUIS AVEC VOUS MEME DE LOIN. JE LIS VOTRE LIVRE.
 

Je trouve ce Documentaire très intéressant et abordant un sujet préoccupant qui nécessite effectivement des actions très fermes. Cependant je le trouve bien trop à charge et du coup perdant de sa crédibilité. Pourquoi ne pas montrer les écoles qui luttent contre ce fléau  et mettent des choses en place. Quel serait l'intérêt pour les responsables de ces établissements d'assister à des scènes de violence voire de lynchage comme il est dit dans le repoetage sans rien faire? Faut il nécessairement ne montrer que les situations les plus tragiques pour sensibiliser ou n'est ce pas aussi pour repondre à un imperatif d'audimat.
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J'ai été victime de harcèlement, cela n'est pas facile à le dire, la plupart du temps, j'ai pris sur moi pour ne pas inquietez mes parents. Nous devons tous combattre le harcèlement scolaire car l'école ne doit pas devenir un lieux de peur.
 

J'ai 33 ans, dans les années 90 déjà j'étais harcelé à l'école. J'étais souvent "malade" pour éviter d'avoir à y aller, mais personne n'a compris les signes. Je dois avouer que je ne m'en suis jamais remis. Aujourd'hui j'ai de fortes phobies sociales, je préfère rester seul et je ne suis pas intégré socialement. C'est un problème beaucoup plus sérieux que la plupart des gens ne veulent le réaliser.
 

Depuis la maternelle jusqu'au lycée je me suis fait harcelée. Les professeurs les pions mes parents n'ont rien fait. J'avais de la "chance" ,les réseaux sociaux n'existaient pas sinon je ne sais pas jusqu'où ça aurait pu aller. A 6 ans j'avais des envies Suicidaire. Bon courage à tous même si cela laisse des traces à vie
 

Parlez du harcelement subi par vous-meme ou par d'autres. Trouvons une solution contre l'inhumanité.
 

Où sont les responsables, les conseillers d'éducation, les professeurs pour voir des enfants s'automutiler, se pendre ou se tuer.
Où va l'enseignement et où va t on ?
 

Mon frère a été victime de cyber harcèlement. Obligée de convoquer un avocat pour prévenir les parents de harceleur et l'équipe enseignante. C'est grâce au culot de ma mère qu'il est encore en vie. Moi, adolescente j'ai été victime harcèlement. Je n'ai pu qu'en survire grâce à ma "gnak", ma rage de survivre. Aujourd'hui je fait encore un travail. Je reste méfiante auprès des gens.
 

Je me suis faite harcelé pendant plusieurs années sous les yeux des enseignants, professeurs et autres professionnels. J'ai par la suite eu une phobie scolaire.
A l'âge de huit ans je me suis mise à me faire vomir...
Maintenant je ne vais plus à l'école et malgré mon amour pour le savoir je n'ai jamais pus passer mon BAC.
Le sentiment de trahison et toujours là....
 

Pendant mes années au collège, et particulièrement l'année où j'étais en 5e, j'ai été harcelé. « Sans amis », « la moche », « tu pus », « intello de merde »... Les moqueries, qui ont commencé dès la 6e, étaient incessantes. En cause, mon physique d'adolescente, avec mes rondeurs, mon appareil dentaire, mes lunettes, mes boutons, mon look pas très à la mode, mais aussi mes bonnes notes... Je me cachais à chaque pause pour éviter d'être prise à parti. Par exemple le midi, à la cantine, je ne mangeais quasiment jamais car j'avais peur de rester seule trop longtemps à une table et qu'on vienne m'insulter.
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J'ai subi le harcèlement de la 6ème à la 2nde. "Pédale", "Tantouze", "Moche", "Tapette".  Chaque jour pour moi était une souffrance terrible, j'avais peur d'aller au collège où je subissais insultes et violences physiques. J'ai eu de sévères problèmes alimentaires car j'avais besoin de perdre physiquement la violence quotidienne que je recevais. Mes parents ne comprenaient pas, j'étais dans l'incapacité de parler.
Aujourd'hui je peux en parler et je voudrais que les choses changent.
 

Mon harcèlement a duré 1 année lorsque j'étais en 3ème. Je ne sais toujours pas pourquoi mais j'ai été la cible de moqueries, insultes, exclusion... J'étais nouvelle? Trop moche? Trop belle? Trop ceci ou trop cela sûrement. Ou rien... Je n'oublierai jamais les prénoms et les noms de ceux qui m'ont visée. Je reste très méfiante aujourd'hui dans mes relations sociales, et j'ai toujours peur des groupes.
 

Harcelée au lycée, renommée "la balance". Colle dans les cheveux devant un prof qui ne réagit pas et qui ne dit rien. Qui dit de changer de place quand je lui en parle. Ce n'est pas aux harcelés de changer leurs habitudes, de transformer ce qu'ils sont! Il faut réagir au harcèlement scolaire! Ne restez pas silencieux, parlez en à une personne de confiance, aux parents... avant qu'il ne soit trop tard. On n'a qu'une jeunesse!
 

J'ai été harcelée en 5ème. On m'a traitée de tous les noms. On a fini par me frapper. Les enseignants n'ont rien fait. Le bourreau a été exclut une semaine. Ce qui a amené des représailles. Une année de cauchemar que personne ne devrait vivre. Il faut se battre contre ce fléau.
 

Ma fille est harcelée par un élevé de sa classe depuis sa rentrée en septembre en 6eme. Il y a un dépôt de plainte car il l a frappé à la sortie de l école. On se sent abandonné par l école qui n agit pas !!!
 

Sujet qui me touche beaucoup car j'en ai été victime j'ai eu une phobie scolaire, sociale ètc...j ai aussi entendu va te suicider ...etc... J'ai ėtė en dėtresse ...mais j'ai su faire face ....avant il n'y avait pas facebook ni les portables ou du moins ce n'était que le début...j'ai pas su en parler a l'époque a l'école...
 

J'ai subit nombreuses insultes, du harcèlement à gogo, heureusement la bulle des réseaux sociaux n'avait pas l'ampleur qu'elle à aujourd'hui et j'ai pas eu à subir la suite chez moi.. Il est toujours dur de parler car on veux pas paraître faible aux yeux de nos parents ou de l'entourage, on veux aussi parfois résoudre nous même le problème.. Mais la solution c'est la parole, il faut combattre ce phénomène, car la différence est une force et ne dois pas être une faiblesse...
 

Le collège a était la pire période de ma vie.
Je n'ai certe pas subit autant que les témoins du reportage.
Ça a surtout été un harcèlement moral et quotidien dont je n'ai jamais compris la cause. Ce que m'a sauvé c'est le sport, domaine où je me débrouillée bien et ou je trouvais une reconnaissance qui me permettais d'oublier l'école.
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Je n'ai pas souffert de harcèlement mais j'ai souffert ce soir à la lumière des témoignages des victimes et de leur famille. Les pouvoirs publics se doivent de réagir avant la vindicte populaire. Madame la Ministre au travail, il y'a du pain sur la planche... Agissez.
 

Alexandre, 17ans
J'ai été victime d'agressions par un élève en 6ème
La principale n'a rien fait, a banalisé le geste. Les professeurs ont fait pareils, toujours a éviter les problèmes ...
Je pense qu'il faut que les gens soient au courant que les chefs d'établissements, les professeurs sont aussi coupables que les bourreaux ....
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Pourquoi laisser des enfants arriver au desespoir, au suicide ? Parce que en France on n'ose plus parler de sanctions, le pere de Mateo avait raison, ce n est pas au harcelé à quitter l etablissement mais à l harceleur à en être expulsé. Et les dirigeants et enseignants ont une enorme resposabilité dar ils en peuvent las ignorer ce qui arrive mais ils préfèrent ne pas voir pour avoir la paix.
 

J'ai été harcelé en CM1 et CM2 .Les garçons se moquaient de moi,car j'étais nouvelle.Ils me traitaient,me disaient que je sentais mauvais etc etc...C'est le collège qui m'a "sauvé".
Je n'en ai jamais parlé à mes parents....
 

Au collège, j'ai vécu les brimades et les moqueries de mes camarades, du fait que j'étais ronde !  De ces faits , découle mon manque de confiance en moi même et aux autres. En grandissant on essait d'y remédier , pour ma part en faisant le pitre , en se forgeant une carapace, je dirais même en étant une personne que je n'étais pas à la base (qui colle plus aux attente des autres ) mais c'est difficile !  J'ai un fils , avec qui j'ai discuté de ce qui peut éventuellement ce passer à l'école.
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Bonjour,
Tout d'abord, merci pour ce reportage qui met en avant des paroles et des actes qu'il faut prendre en compte. J'ai été ''victime'' d'un harcelement sur internet au collège, de moindre ampleur que les témoignages du reportage mais, qui a laissé des traces tout de même. Des ''amies'' avaient écris un article sur leur blog en mettant ma photo avec plein de mots négatifs (''diforme'', ''conne'', ''inintéressante'', ''stupide'' etc.). Quelques soit le degré, je pense que toutes formes de harcellement doit être contrées!!
 

Ce qui m'effraie le plus, c'est cette indifférence de la part des adultes au sein des écoles, collèges ou lycées. J'ai souvent été surprise pour ne pas dire choquée par des faits racontés par mon fils le soir. Un peu comme si les enfants étaient livrés à eux mêmes dès lors qu'ils ne sont plus dans la classe. Je me demande tout le temps si il en rajoute ou si il a bien perçu les actes qu'il relate. J'espère que cette émission éveillera vraiment les consciences.


j'ai été harcelé de ma sixième à la terminale. Insultes, moquerie...tel était mon quotidien. " la souris", "la moche", "suicide toi"...on me suivait même jusque devant chez moi, on m’insultait dans le bus et sur facebook. Je me cachais dans les couloirs et les toilettes. J'en ai parlé a mes parents qui sont allé voir le proviseur du collège et du lycée les années suivantes. Ils n'ont pas bouger. J'ai fini par me scarifié. J'avais 11 ans au début de mon harcèlement, aujourd’hui je vais sur mes 21ans, j'ai fini l'école mais je souffre d'un grand manque de confiance en moi.
 

Le témoignage diffusé sur France 2 m'a rappelé tant de mauvais souvenirs. Je suis quelque peu soulagée de voir que les choses sont peut-être enfin sur le point d'être améliorées dans les collèges et lycées aujourd'hui, grâce aux témoignages, grâce à la couverture médiatique du harcèlement scolaire.
J'ai été harcelée à plusieurs reprises, à l'école primaire, au collège et au lycée.
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Ma fille a été harcelée pendant 2 ans au collège (harcelement physique et moral). J'ai réagi violemment quand un soir elle m'a dit qu'elle n'en pouvait plus et qu'elle voulait mourrir. Le college a été attentif et réactif. A la fin de la première année, le harcelement a cessé pour laisser place à quelque chose de plus pernicieux: ma fille n'existait plus' elle était devenue transparente. Contre son avis, au bout de la seconde année, nous l'avons envoyé en colonie pour lui montrer que le problème ne venait pas d'elle mais bien des autres, elle a ete suivie par des psys puis par un coach et puis nous l'avons change de collège. je conseille aux parents d'être tres reactif, le harcelement n'est pas une fatalité, il faut réagir violemment! Mon dernier conseil aux enfants: surtout, surtout parlez-en à vos parents, ce n'est pas votre rôle de nous protéger mais c'est notre rôle à nous de parents.
 

J'ai moi aussi subi un harcèlement pendant mes années de collèges. Cela a commencé en 6ème :
Insultes, dégradation de mes affaires, moqueries, sourires narquois lorsque l'on s’assoie seule à la cantine ou en classe...  Le motif: j'étais bonne élève. Ainsi je suis allée au collège  la peur au ventre pendant quatre ans avec une réputation de "sans amis" et de "pauvre fille" collée à la peau.
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J’ai subi de l'exclusion de la part d'un groupe de filles que j'ai côtoyées au collège. Cette période a été très douloureuse, je n'en ai jamais parlé parce que j'avais honte de ne pas arriver à exister par moi-même. J'ai fait la connaissance d'une fille que j'ai considérée pendant plusieurs mois comme une amie. Puis il y a eu une histoire de triche, elle a copié sur moi. Ma mère m'a cru coupable et a perdu toute confiance en moi. Ensuite, cette fille a commencé à se moquer de moi avec plusieurs autres filles. Je cherchais à ce qu'elles continuent à m'accepter comme auparavant, mais elles m'ignoraient ou me lançaient des petites phrases assassines. Je suis alors devenue quasi-mutique
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j'ai été victime de harcèlement au collège.....après le lycée, j'ai fuit, j'ai changé de région et ne souhaite plus revenir y vivre.....des personnes à l'esprit étroit de cette période n'ont pas évoluées. Je me méfies encore de tout le monde. j'ai 44 ans.
ce documentaire devrait passer dans toutes les écoles, collèges, lycées, pour que les profs le voient pour se rendre compte des dégâts...
Le harcèlement ne se fait pas seulement entre élèves, y a aussi les paroles blessantes et répétées des profs......j'ai subit les 2
 

J'ai été victime d'insultes, de violences et de négligence de la part de mes enseignants. Se retrouver seule dans une classe avec 28 élèves, bien décidés à faire leur loi, et fiers d'avoir trouver une "bouffone" pour se divertir, est une des choses les plus difficiles qu'il m'est été donné de vivre. Je ne suis pas la pour raconter les atrocités que j'ai subi, mais pour redonner espoir à ces jeunes qui ont étés comme moi, et j'aimerais leur dire, ce que j'ai toujours éspéré que l'on me dise, et que ces mots leur arrive droit au coeur et leur donne la force d'avancer
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J'ai été harcelé parce que j'ai fais l'erreur de dire à un garçon que j'étais amoureux de lui. Il m'a rejeté et l'a dit à ses amis qui m'ont ensuite harcelés. J'ai changé de lycée. Maintenant ça se passe beaucoup mieux, j'assume mon homosexualité auprès de mes amis et de mes parents. Je n'ai plus eu de problèmes.
 

Nous devons éduquer nos enfants dès le primaire. Le respect est une valeur à transmette d'urgence à nos enfants.  Nous ne pouvons pas laisser nos enfants subir ou faire subir ces horreurs.
 

Pendant tout mon primaire j'ai eu des surnoms moqueurs a cause de mes prénoms, on se moquait de moi pour un rien. J'en parlais a mes professeurs qui me disaient de les ignorer, même dans mes bulletins il était marque que c'était de ma faute, que je n'avais qu'a pas réagir. Au collège, on m'insultait sur mon poids, alors que j'étais dans la moyenne, juste un peu plus grande ; on critiquait mes vêtements qui n'étaient pas de marques, on me frappait quand je répondais aux insultes.
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J'ai été victime d'une rumeur en 4eme, celle que j'étais homosexuel. La rumeur a été répandue très vite, je n'ai rien pu faire, tout le monde vous tombe dessus. J'en ai souffert jusqu' en terminale. Moqueries, mal-être au quotidien, peur d'être jugé, plus dans la confiance et  quotidiennement obsédé par l'image que je pouvais donner.
 

Pas beaucoup de réponse pour les parents qui ont découvert que leur enfant est victime.... Que fait on ? Vers qui se tourne t on ? Un numéro 0800 qui ne répond pas...
 

Je ne sais tjs pas ce qui fait que je suis encore en vie. Un sursaut d’ego? "ils ne m'auront pas, ça leur ferait trop plaisir" 7 ans de harcèlement, pr des raisons différentes: "intello", "fayote", "lèche-cul", "grosse conne"... une absence de  réaction de l'équipe pédagogique (clairement désemparée) et aucun soutien familial (arrête de vouloir te faire remarquer, fais des efforts pr t'intéger, si tu étais moins toi ça serait plus facile pr tt le monde...)...Mon médecin de famille m'a arrêté, ma vie étant en danger, il a préféré m'éloigner mais rien n'a changé à mon retour. 12 ans après, les séquelles sont là: aucune confiance en soi, mésestime de soi... mais ils n'ont pas gagné!
 

Malheureusement ce "phénomène" aussi cruel soit-il peut commencer très tôt dans la vie.
J'ai commencer à être harcelée en primaire par mes camarades car j'étais grande et mince. On m'appelait Olive, le coton tige, canne de serin et j'en passe... En CE1 c'était même mon institutrice qui me punissait parce que j'avais des couettes et que ma mère me mettait de l'eau de Cologne.Puis ça a continuer à l'entrée au collège car j'étais trop sage d'après les autres.
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J'ai subi de nombreuses moqueries de la part de garçon du fait que je sois éfféminé. Je pensais qu'au lycée cela allait passer, qu'ils deviendraient un petit peu plus mature dans leur tête, mais malheureusement nan... Quand vous passez dans un couloir que vous entendez "PD", "tapette", "il a pas de couille"... Le pire dans tous ça c'est que je ne suis même pas homosexuel même si je défend cette cause du fais que des amis le sont et que je n'ai rien contre. Mais pourquoi assimuler quelqu'un à une catégorie ? Et quand on vous dit d'aller vori des adultes...
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J ai 56 ans et donc 43 ans de harcelements . J'aurais tant et tant a dire pour .Qui que vous soyez 1 chose pour s en sorttir parler a vos parents educateur spycanaliste de facon a reprendre confiance en vous trouver les cles aujourd'hui n'ayez plus cette boule au ventre qui  vas gacher votre vie et ne reproduiser pas vos meme sur vos enfants ou tout etre humain ce que vous avez subis.
 

Pour avoir été victime de harcèlement pendant longtemps je confirme qu'il ne faut pas avoir honte. Il faut briser le tabou. Il est inadmissible que les jeunes se fassent harceler pour tout et n'importe quoi. Moi pour ma part c'était sur la taille, le physique et le fait que je faisais plus jeune que mon âge. Heureusement à l'époque il n'y avait pas encore de smartphones ni de Facebook or maintenant il est facile de se cacher derrière un écran on se sent tout puissant et à l'abri de tout.
Alors STOP au harcèlement mobilisons nous il faut que cela cesse !!!
 

C'est dramatique... toutes ces souffrances d'enfants... et ces drames qui auraient dû être évités... tous le adultes qui travaillent dans l'établissement devraient être considérés comme responsables !! Les enfants, nos enfants sont sous leur surveillance !! Nous, les parents déposons nos enfants tous les matins à l'école en pensant qu'ils sont en sécurité et tous les matins nous les jetons "peut être" dans la "gueule des loups" sans savoir ce qu'ils endurent... Moi aussi je ne comprends pas qu'il n'y ai pas plus de plaintes et de procès contre les "harceleurs" mais aussi ceux qui voient mais qui ne bougent pas alors qu'il suffirait d'un geste ou d'un mot...
 

J'ai été harcelé à plusieurs reprises du primaire à la fin du lycée de manière très aléatoire selon les établissements. C'est très difficile à vivre car à cet âge adolescent où il faut rentrer dans un certain "moule" les personnes harcelées sont vite à l'écart et se sentent isolées et en parler à sa famille ou à un adulte est très difficile.
Pour ma part mes parents m'ont appris le respect et la non-violence mais les harceleur s'en sont servit car sachant que je ne rebellerai pas contre leurs insultes voir leurs coups.
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J'ai 39 ans et j'ai connu pendant 3 ans le harcèlement des Autres de la 4ème à la 3ème et qq actes "résiduels" en seconde. Il a commencé par une blague sexuelle qui a perduré et il s'est étendu à plusieurs élèves de différentes classes, dont certains que je ne connaissais même pas. Ricanements, railleries, sollicitations en criant (appel par mon nom de famille) devant tout le monde, vols, bousculades, coup de pied, insultes. J'ai vécu un calvaire et les surveillants témoins de ces situations ne sont jamais intervenus, ils étaient plutôt  dans le joyeux  copinage  des harceleurs (les "cools" du bahut). Je n'étais pas la seule personne à les subir.
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moi aussi j'ai été victime de harcèlement,des grosses putes ,grosse vache ,gros cul,té moche et pis un jour le grade est monté de plus haut harcellement via internet,via mon portable,etpis malgré la sonnette maman me disait toujours c'est rien cette fille est simplement jalouse de toi sa lui passera ...1an a passé la rentrée 2013 a été plus prononcée ...insulte jet de pierre agression verbal et physique et le pire c est que cette fille allait au CPE dire que c'etait moi qui la harcelait...et pis un jour tout est parti en vrille...maman de cette sonnette alarme c'est enfin reveillé comprenant que je souffrait...et est intervenu ...ce jour là malgré une première intervention via les parents de cette fille sa continuait....
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J'ai subi le harcèlement scolaire pendant le collège et le lycée parce que j'étais enrobée.  Parfois, je me suis rebiffée  et à d'autres moments je me suis écrasée car le sentiment qu'on n'en vaut pas la peine, qu'on est rien prend le dessus. D'excellente élève je suis passée à vraiment moyenne puis j'ai eu un sursaut en 3ème pour mes notes et ça a été une façon de leur montrer à tous que je ne baissais pas les bras mais c'était une façade car se sentir seule, abandonnée c'est très difficile à vivre. J'ai eu une "revange " , 20 ans plus tard.
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J'ai été harcelé de mes 11 ans à mes 18 ans. Au lycée, on m'appelait "Léa t'es moche" à cause de mon nom de famille qui est Thébault". On m'a volé aussi une fois. Quand on se moquait pas de moi, on s'en prenait à mes affaires. On les éparpillait dans le vestiaire, on retournait mon sac à dos. Au collège, je servais de tambour à une fille populaire pendant les cours de technologie. Les garçons aussi se moquaient mais c'était surtout les filles qui m'embêtaient, celles populaires et redoublantes. L'une des choses les plus choquantes qui m'est marquée, c'est lorsque l'on m'a demandé (bien évidemment pour se moquer de moi), au lycée, si j'étais juive juste parce que j'ai un gros nez et que je m'appelle Léa.
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Tout d'abord, je souhaiterais dire un grand bravo pour tous ces témoignages bouleversants. Me destinant moi-même à rentrer dans l'Education nationale, je trouve surtout horrible que personne ne fasse rien face à ces situations dramatiques.
Je me considère comme une chanceuse. En effet, j'ai des problèmes de santé depuis l'âge de 5 ans, qui m'ont presque amenée au fauteuil roulant pendant le primaire. De plus, j'ai des lunettes et j'ai sauté le CP. A voir les profils des victimes, j'aurais pu en devenir une.
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Bonjour,
Je fais moi aussi partie des victimes.
J’ai actuellement 20 ans. Je viens de commencer une formation d'accompagnatrice touristique.
Mais je dois avouer que jamais je n’oublierais l’enfer de ma scolarité. J’ai subi des brimades, des insultes et cela pendant toute ma scolarité y compris à l’université.
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Il était temps que quelqu'un se bouge. Aujourd'hui, j'ai 25 ans et je souhaite pousser un coup de gueule contre beaucoup de personnes. Auteurs, mais aussi et surtout tous ces parents et enseignants qui ne font que constater, voire y participer.
J'ai encaissé tout au long de l'année de cinquième. Un an d'avance, de bonnes notes: la victime idéale. Se faire insulter quotidiennement, se faire terroriser, même tabasser (en plein cours!), ça laisse beaucoup de traces. Et quand j'ai enfin eu le courage d'en parler à la principale adjointe, elle a explosé de rire. Puis vient le cercle vicieux. Parce que les séquelles furent quasi-immédiates. Il a suffi qu'il y en ait une qui voit que je me faisais littéralement dessus pour que je sois sujet à de nouvelles moqueries et insultes.
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De ma 5ème a ma 3ème j'ai ete harcèlé. toute la journée je me fesais insulté , insulté de ; pute , salope , garce et j'en passe. Tout ca a cause d'une rumeur FAUSE. Cette rumeur a ete lancé par une fille de ma classe sans savoir pourquoi. Et de fil en aiguille ca c'est propagé dans ma classe et dans le collège et dans les autres collèges... Les garçons essaye de me touché et je me laisse pas faire donc ils me frappaient. Les filles m'insultaient et me frappaient aussi. Ma proffesseur principal aggravé les choses en disant que ca devait être de MA faute tous ce qui ce passé. Je me suis fait étranglé en pleins cours et PERSONNES n'a rien fait! Je pleurait en classe et les professeurs s'en fichaient! Ca continuait tout les soirs sur les réseaux sociaux. Mes parents ont prit souvent rendez vous avec l'école mais elle ne fesait rien car il n'y avait aucune "preuves valable". En 3ème je cessais d'alle en classe pendant 3 mois et ont m'appelaient pour m'insulter et de me suicider. J'ai fais 3 tentative de suicide... maintenant je suis en 2nd je n'ai presque pas d'amis a cause de tout ca et je me méfies beaucoup. Je m'en remet doucement car on m'insulte pratiquement plus enfin tres rarement. Je n'es jamais quitté mon college car je voulait me battre jusqu'au bout et leurs montrer que je n'était pas faible.
 

Pour avoir pris la défense et être devenue amie avec la souffre douleur j'ai moi aussi été harcelée.
 

J'étais différente : un look un peu à part, fan d'un boysband et un franc parlé qui choquait. Mes années collège m'ont mené à me poser de questions sur moi-même et je me suis demandé quelle serait leur réaction si je mettais fin à mes jours... J'avais peur des représailles "tu veux que je te frappe ?" "Oh la balance elle l'a dit à sa mère", "toute façon t'es moche tu trouveras jamais de mec".  J'ai été victime de harcèlement scolaire et personne ne m'a aidé. J'en suis venue à me battre, seul moyen pour moi de me débarrasser de ces assassins. Mais ils revenaient en groupe et m'insultaient. Il faut arrêter ça ! Je me battrais pour que mes petits cousins ne vivent pas ça à l'école.
 

Mon harcèlement a duré 1 année lorsque j'étais en 3ème. Je ne sais toujours pas pourquoi mais j'ai été la cible de moqueries, insultes, exclusion... J'étais nouvelle? Trop moche? Trop belle? Trop ceci ou trop cela sûrement. Ou rien... Je n'oublierai jamais les prénoms et les noms de ceux qui m'ont visée. Je reste très méfiante aujourd'hui dans mes relations sociales, et j'ai toujours peur des groupes.
 

J'ai été harcelée en 5ème par des jeunes de ma classe. J'ai toujours été proche des garçons dans ma classe ce qui a fortement déplu à certaines filles "populaires" du collège. J'ai subis des insultes sur les réseaux sociaux, une chanson à circuler sur moi au collège et même ma meilleure amie depuis toute petite la chantait, on m'évitait. J'ai simulé une maladie avec la complicité de ma soeur pour ne pas aller au collège mais arrivée a la rentrée c'était encore pire les insultes dans la classe, personne ne mangait avec moi, personne ne voulait s'asseoir à côté de moi en cours. J'ai alerté ma maman qui a tout de suite prévu mes profs et le principal mais les profs en ont parlé devant toute la classe tout le monde se moquait de moi. Mon histoire à durée les 3/4 d'une année scolaire et ça s'est arrêté un mois après la rentrée de 4 ème. Aujourd'hui je suis en terminale ES mais je suis restée marquée par cette histoire mais je peux compter sur mes parents, ma soeur, ma famille, mon copain. Ils sont là pour m'aider et je les remercie.
 

Magnifique reportage. Très poignant, qui m'a arraché des larmes. J'ai vécu à très faibles niveaux des violences verbales étant jeune en primaire et qqs unes au collège, mais les pensées suicidaires ont été tout de même une préoccupation. J'ai également eu des mots durs avec d'autres élèves dans mes périodes de mieux. Ce reportage m'effraie sur le collège notamment, on n'en parle trop peu et cela coûte des vies pour des détails tellement insignifiants. Il faut mobiliser le personnel éducatif !!
 

Mes années collège auraient pu mieux se passer. "Planche à pain", "grosse vache"... Je n'ai eu à subir que quelques insultes, pendant quelques mois, et j'ai eu la chance, car c'est une chance, d'avoir un caractère très fort, et surtout d'avoir eu des amis sincères qui ont pris ma défense, et des profs stricts qui savaient faire régner discipline et ordre dans l'établissement.
Il est capital que tous les parents expliquent à leurs enfants qu'on ne doit pas exclure quelqu'un parce qu'il est "différent" de lui ou elle. Mais aussi que, s'ils sont témoins d'agissements pareils, ils ne doivent en aucune cas y prendre part pour quelque raison que ce soit, et qu'ils ont en eux la capacité de dénoncer le harceleur, et de le contrer. À une époque où on rêve de ressembler à des super héros, certains comportements simples de la part des camarades et des professeurs pourraient éviter bien des drames, et faire de ces personnes les héros des victimes.
 

J'ai été harcelé depuis le CP,en tout j'ai été harcelé durant presque sept ans dans la même école et avec les mêmes personnes , mes amies ne me défendait pas souvent, j'étais seule ,j'en ai souvent parlé à ma mère et elle faisait tout pour me rendre heureuse , ma maîtresse de classe ne me défendait jamais, elle croyait aux fausses excuses des autres camarades mais pas les miennes.Maintenant je ne les écoute plus et la police les ont avertis et ça va de mieux en mieux.
 

Je ne sais pas si mon cas peut s'apparenter à du harcèlement scolaire, je ne pense pas, mais l'école est bien présente. Ma mère m'a envoyée dans un collège qui n'était pas celui de secteur, je me suis retrouvée avec des connaissances, mais sans toute ma bande d'amis, (que j'ai très vite perdu de vue). Je m'entendais mal avec ma mère, très protectrice, et mon père n'était pas présent. Ca n'allait pas depuis l'entrée au collège. Je subissais des remarques à cause de mon style vestimentaire de la part des élèves de mon âge ou plus âgés et mêmes de certains professeurs, puis arrivée en 4ème à cause de ma façon d'être.
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Depuis le début de la 6ème, j'étais l'intellote, on me traitait de tout les noms, tout le collège en avait contre moi, jusqu'à ce que je me subisse des attouchements en 5ème de la part d'un groupe de 8 garçons dont un qui passait pratiquement tout son temps chez moi car c'était le meilleur ami à mon frère. J'ai eu aussi un groupe d'amis, en tout cas ce que je croyais, sauf qu'ils me poussaient par terre, me donnaient des coups, je pensais qu'il faisait ça amicalement, j'étais tellement désespérée que je subissais.
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Du collège à la fin du lycée. Des moqueries aux humiliations physiques (boulettes de papier, poil à gratter,...), en passant par les menaces (verbales, écrites, coups de téléphones anonymes...) et l'humiliation morale (trahison de confiance). J'ai été victime du harcèlement scolaire.
 

Durant ma mon redoublement de troisième j'ai été une victime du harcèlement moral . Heureusement pour moi j'était entouré . Des garçons après une histoire d'amourette mon pris pour cible . C'était des insulte des petit pic des grand froid quand j'entrait dans la sale de classe , des rumeurs , des moqueries à cause de ma dyslexie . Puis le jour ou je suis rentré chez moi et j'ai vu inscrit sur des  poteaux "la pute de  " une flèche et sur le deuxième poteaux mon prénom . La une amie de l'époque est aller voir la CPE pour parler de ce qui ce passait . Par la suite mes parents  on vu ce message et on pris rendez vous avec la directrice et j'ai eu la chance qu'elle me soutienne ma pris en charge .
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J'ai eu la chance de ne jamais connaitre le harcelement. Mais pour tous ces enfants, je me battrais avec vous pr faire avancer les choses.
 

J'ai été harcelée à l'école primaire et au collège dans les années 1990-2000. Heureusement, avec ce que je vois aujourd'hui, il n'y avait pas Facebook à cette époque et la violence était moins banalisée! Je prépare aujourd'hui le concours de l'enseignement supérieur en anglais et j'espère que tous les professeurs et futurs professeurs se rendent compte que nous avons un rôle important à jouer dans la lutter contre cette horreur! L'école doit être un lieu d'apprentissage en toute sérénité!
 

Merci pour ce documentaire poignant. J'ai été harcelée durant plusieurs année aux collège, scarification, boulimie, dépression et isolement étaient mon quotidien. Maintenant je suis une jeune adulte bien dans sa peau qui voyage énormément, épanouie dans sa vie privée et scolaire (université) grace à ma mère qui a su décelé la souffrance et qui m'a donc changé de collège en urgence. J'aimerai qu'il y ai plus de prévention dans les établissement pour que les enfants apprennent a en parler avant qu'il ne soit trop tard...
 

Je suis une jeune femme de 20 ans et à l'époque je mesurais 1m56 pour 56 kg donc nous ne pouvons pas dire que c'était gros, j'avais des formes certes mais en aucun cas je n'étais grosse ! & Pendant des années j'ai été victime d'harcèlement scolaire au collège, le stress les pleures & les vomissements tous les soirs dans ma chambre, la boule au ventre tous les matins, puis tu arrives au collège..
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J'ai raté en grande partie ma scolarité à cause de la peur d'etre tapé , moqué , j'ai quitté l'école avec le brevet en poche . Depuis j'ai renoncé à prendre ma place dans la société qui me parait hostile et violente et , malgrès un long suivis psychologique , je vis en quasi autarcie ... J'ai 32 ans maintenant . Que de douleurs accumulées pendant le primaire et le collège .J'avais des envies , je n'ai plus que des regrets parfois .
 

Je suis roux et mon surnom est "carotte" ! J'ai aujourd'hui 29 ans et tout le monde m'appelle comme ça comme si c'était mon vrai prénom ... Je n'ai jamais réussi à faire changer ça ... Ce surnom est né en 4ème d'un groupe dont était ami ma meilleure amie. Je n'ai jamais été ni gros ni moche ni avec une particularité (à part roux). C'est pour dire la bêtise des gens car pour eux c'est "juste" un surnom, pour vous ça peut devenir un traumatisme.
 

Durant mes années collèges ,j'ai été victime d'harcèlement au point que j'ai même envisagé le suicide. Encore aujourd'hui, je manque de confiance en moi mais j'ai pu me reconstruire lentement grâce à la capoeira. Maintenant ASSEZ de garder un secret qui m'étouffe et ASSEZ de voir le harcèlement comme une honte, grâce à ce reportage, je veux prendre la parole pour moi et aussi pour les autres
 

Pour avoir été victime de harcèlement pendant longtemps je confirme qu'il ne faut pas avoir honte. Il faut briser le tabou. Il est inadmissible que les jeunes se fassent harceler pour tout et n'importe quoi. Moi pour ma part c'était sur la taille, le physique et le fait que je faisais plus jeune que mon âge.
Heureusement à l'époque il n'y avait pas encore de smartphones ni de Facebook or maintenant il est facile de se cacher derrière un écran on se sent tout puissant et à l'abri de tout.
Alors STOP au harcèlement mobilisons nous il faut que cela cesse !!!
 

Bravo à vous tous témoins dont le courage dépasse au centuple la terrible lâcheté de ces bourreaux.  Vous n'êtes en rien responsable des actes parfois monstrueux que vous avez subit.  Merci pour votre témoignage empli d'un très beau courage. Vous êtes merveilleux !
 

Avoir le goût des autres
Être des parents d'élèves actifs à fortiori lorsqu'on a la chance de ne pas être directement concernés
Parler écouter observer et être acteurs
Alerter!!! partager !!! Mais bouger
 

je n'oublierai jamais ces émouvant témoignages, merci France 2.  Il y a aussi des films comme le récent Whiplash qui soutiennent que le harcèlement peut "endurcir quelqu'un et en tirer le meilleur"! c'est faux et dangereux et irresponsable et j'ai été ciblé sur internet pour avoir souligné les maladresses de ce film douteux (mais beau visuellement)
 

Dans le lieu dédié à l'éducation qu'attendons nous pour partager nos savoirs ? ouvrir les esprits ? il faut faire de l'école un lieux d'apprentissage et de tolérance nous savons comment faire mais aucuns gouvernements n'a osé proposer une véritable réforme avec des moyens matériels et humains. les éducateurs ont une formation qui pourrait aider dans les collèges. Des Pays comme la Finlande ont mis en place une école ou le respect et la responsabilité ne sont pas que des vains mots...


Harcelée à l'école depuis la maternelle, je suis aujourd'hui en terminale. Les moqueries n'ont toujours pas cessé. J'ai pourtant changé d'écoles à de nombreuses reprises, en pensant que le problème venait de là, mais non. Le problème vient des autres élèves. Cette année, mon harcèlement est d'autant plus fort que mes harceleurs m'ont trouvé sur Internet, ils épient chacun de mes comptes Facebook, Twitter ou Instagram, se font tourner les photos durant les photos et rient de moi, de mes origines, de ma manière d'être.
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J'ai été victime d’harcèlement scolaire en 5 ème et cela m'a fait très mal surtout que c'est mes propres "amis" qui m'ont harcelés. Suite à une dispute, ils ont décidés de ne plus me parler mais pas seulement ils m'ont insulté, humilié et ont monté toute la classe contre moi. On m'a mis une claque, balancer des gommes, on s'est moqué sur mon physique  et j'étais seule a l'écart... J'avais tellement honte que je n'ai jamais rien dit à mes parents, mais je regrette tellement de ne pas l'avoir fait cela m'aurait éviter beaucoup de souffrance. J'avais la boule au ventre, je me suis scarifiée et j'avais des idées noires.  Je pensais que c'était de ma faute et je n'avais plus d'estime de moi. Cela me parait tellement loin maintenant, je suis en master de droit, j'ai un petit copain depuis plusieurs années et j'ai pleins d'amis. Mais je garde quand même une trace, j'ai toujours peur du regard des autres, peur que mes amis m’abandonnent et j'évite de traîner en bande à la fac. Un seul conseil à donner : PARLER. Parler si vous êtes victime, mais parlez aussi lorsque vous voyez quelqu'un d'autre se faire harceler qui n'a pas la force de le faire lui même.  Et surtout ne soyez pas des moutons, n'harcelez pas les autres pour leur différence, soyez plus intelligent et tolérant.  Ne soyez pas emporté par l'effet de groupe !!!!!!!!
 

Le harcèlement scolaire existe sous différents degrés, loin de l'horreur qu'ont pu subir certains témoins du documentaire, j'ai aussi expérimenté à ma façon cette épreuve que connaissent de nombreux adolescents. Pris à parti parce qu'on osait s'installer dans les premiers rangs, parce qu'on répondait aux questions des professeurs, parce qu'on était un "intello", ce mot envoyé avec tant de mépris qu'il se confondrait presque avec un crachat ; raillé parce qu'en suivant encore l'insouciance de la part en nous qui était restée dans l'enfance et dans l'école primaire, on avait voulu aborder la fille la plus populaire de la classe.
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Ces témoignages m'ont beaucoup touchée car j'ai moi-même subi du harcèlement scolaire pendant 10 ans. Cela a commencé à l'âge de 7 ans avec des mises à l'écart constantes, mais cela est véritablement devenu violent à partir du moment où j'ai eu 10 ans et ça s'est empiré dès l'entrée au collège.
A partir de là, tout était bon pour la moquerie : le fait que je n'étais pas assez cool, pas assez belle... Certains détails physiques qui paraissaient anodins devenaient des moqueries récurrentes. Alors, qu'est-ce que je faisais contre ça ?
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