Pimous témoigne

Bonjour
J ai vécue 13 ans dans la violence conjugale, il me trompait, il quittait le domicile pour vivre ces idylles et quand Mr avait décider de revenir je n avais pas de recours, le bail étant aux nom des deux puisque marié il appelait les gendarmes je devait le laisser rentrée ,ensuite j avais droit aux coups, j avais beau porté plainte rien n aboutissait, la mère de son enfant adultère a porté plainte aussi il s en sort toujours ! il frappait mes enfants leur disait que si il repetait ce qu il ce passe a la maison il tuerais leur mère devant eux et appliquait la même chose avec moi !quand enfin j ai réussis a m en sortir parce que j ai briser le silence dans mon entourage j ai dut faire face a tout seule, dette, enfants, garde des enfant éducation, menace de mort . J ai mis 10 mois avant d avoir une ordonnance de non conciliation pour fixer la pension alimentaire, j ai été aider par mon frère et mon voisinage et oui l assistante sociale ne pas pas aider je travaille, je mangeais tout les 3 ou 4 jours pour que mes enfants puissent manger.J étais menacer de mort par ces nombreuses maîtresses puisque Mr les quittaient en leur disant qu il revenait vivre avec moi! je ne pouvais pas baisser les bras j avais 3 petits bouts qu ils fallait éduquer, nourrir, habillé suivre la scolarité etc. Aujourd hui encore il arrive a me pourrir la vie il ne s occupe pas de nos enfants, et la justice cautionne. Paie un minimum de pension alimentaire non pardon de tranquillité !ces déclarations transpire le mensonge mais il s en sort toujours .... c 'est bien ont nous dit de pas rester dans la violence conjugale mais derrière il y a plus personne ! c 'est un parcours difficile on na même pas le temps de ce reconstruire voir de vivre et pourtant faut ce battre encore et encore ! Si vous avez des enfants avec lui jamais vous ne tournée la page, jamais vous êtes libéré ...je suis en colère, meurtrie par notre système judiciaire !heureusement que j ai mes enfants parce que je n aurais jamais pu faire face ils sont mon moteur, ma bataille, en plus de faire face a tout je dois encore le battre contre notre jolie système judiciaire ! c est a croire que ces pourris s en sortirons toujours et limite on les encourages